Basilide d’Alexandrie. Aux environs de 130 après JC. L’ensemble de son œuvre n’est connue que par le biais de ses détracteurs, ce qui en renforce le côté mystérieux et les relents hérétiques emprunts de manichéisme et de zoroastrisme. On lui devrait l’Abraxas, sorte de représentation ultime des 365 émanations de Dieu... Oui, c’était une époque où l’extravagance était lieu commun.