Egodule : Différence entre versions
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'''Egodule''' (''егодул'' en [[Macédonien|macédonien]] - ''egodule'' en [[Nissard|nissard]]). Unique mot [[Protivophilie|protivophile]] de la langue [[Français|française]] à contrecarrer la grammaire. | '''Egodule''' (''егодул'' en [[Macédonien|macédonien]] - ''egodule'' en [[Nissard|nissard]]). Unique mot [[Protivophilie|protivophile]] de la langue [[Français|française]] à contrecarrer la grammaire. | ||
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== Étymologie == | == Étymologie == | ||
− | [[Fichier:Ego.jpg|200px|vignette|droite|Ego sans tripe | + | [[Fichier:Ego.jpg|200px|vignette|droite|Ego sans tripe mais toute ses côte<ref>Pour les hominine mâle — exclusivement — souffrant du syndrome post-opératoire de leur suprématisme masculiniste, "La grosse bite à Dudule", 2009 - [https://www.youtube.com/watch?v=RycMNU6Tj1M En ligne]</ref>]] |
− | Le terme ''Egodule'' se compose de la racine latine ''egō'', avec le sens de "je" ou "moi", et du suffixe grec '' δοῦλον'' (doûlon) qui, à la fois adjectif et nom, et de genre neutre, renvoie à l'état de servitude, de soumission, et désigne aussi l'hominine<ref>hominine</ref> en esclavage<ref>Voir les dérivé dans Anatole Bailly, ''Dictionnaire grec-français'', 1935 - [https://archive.org/details/BaillyDictionnaireGrecFrancais/page/n534/mode/1up?view=theater En ligne]</ref>, ou plus simplement "être au service de". | + | Le terme ''Egodule'' se compose de la racine latine ''egō'', avec le sens de "je" ou "moi", et du suffixe grec '' δοῦλον'' (doûlon) qui, à la fois adjectif et nom, et de genre neutre, renvoie à l'état de servitude, de soumission, et désigne aussi l'hominine<ref>Les hominine sont une branche du vivant qui inclut les australopithèque, les homo erectus et autre ergaster. Les humain actuel sont des hominine. Les dernier.</ref> en esclavage<ref>Voir les dérivé dans Anatole Bailly, ''Dictionnaire grec-français'', 1935 - [https://archive.org/details/BaillyDictionnaireGrecFrancais/page/n534/mode/1up?view=theater En ligne]</ref>, ou plus simplement "être au service de". |
− | La racine latine ''egō'', prononcée \e.ɡo\, dérive d'une forme plus ancienne commune à de nombreuse autre langue en Europe avec des sonorité et des notation parfois différente. La terminaison en ''-o'' marque la première personne du singulier. ''Me'', l'accusatif de ''egō'' dans la grammaire latine, se retrouve en français dans ''me'' avec le sens de ''moi''. Dans cette langue, la racine ''egō'' est généralement noté avec un accent sur le ''e'' dans les | + | La racine latine ''egō'', prononcée \e.ɡo\, dérive d'une forme plus ancienne commune à de nombreuse autre langue en Europe avec des sonorité et des notation parfois différente. La terminaison en ''-o'' marque la première personne du singulier. ''Me'', l'accusatif de ''egō'' dans la grammaire latine, se retrouve en français dans ''me'' avec le sens de ''moi''. Dans cette langue, la racine ''egō'' est généralement noté avec un accent sur le ''e'' dans les mot qui en sont composé — ''égoïste'' par exemple — mais l'orthographe du mot ''ego'' se fait avec ou sans accent jusqu'aux réforme récente<ref>Rectification de l'orthographe de 1990 - [http://www.academie-francaise.fr/sites/academie-francaise.fr/files/rectifications_1990.pdf En ligne]</ref> qui fixent l'utilisation de l'accent afin de faire correspondre, pour des raison de simplification, la prononciation à la norme orthographique générale. Même lors d'emprunt à la langue anglaise médicale : |
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''MC, tu t'bornes à l'égo-trip''<br/> | ''MC, tu t'bornes à l'égo-trip''<br/> | ||
− | ''Vas t'faire enlever trois côtes tu pourras t'auto-sucer la bite''<ref>Soklak, "DISS", ''Not 4 Sale'', 2006 - [https://www.youtube.com/watch?v=Br-7zwbZEfE&t=562s En ligne]</ref><br/> | + | ''Vas t'faire enlever trois côtes tu pourras t'auto-sucer la bite''<ref>Soklak, "DISS", ''Not 4 Sale'', 2006 - [https://www.youtube.com/watch?v=Br-7zwbZEfE&t=562s En ligne]. Il est probable qu'avec une côte supplémentaire cela soit réalisable pour une femelle hominine.</ref><br/> |
</blockquote> | </blockquote> | ||
− | L'étymologie grecque ancienne ''𐀈𐀁𐀫'' est un emprunt aux langue moyen-orientale qui utilisent des forme proche et des sens similaire, tel 𒁕𒀝𒂵𒇻 (daggālu) en babylonien ou ''dōʾēlu'' en cananéen reconstitué. Selon les mythologie moïsienne et christienne, l'antique "Pays de Canaan" est ainsi nommé en référence à Canaan, le petit-fils de Noé, condamné par ce dernier à être l'esclave de ses deux frère. Le prétexte alambiqué invoqué est que son propre père — le fils de Noé — ait vu ce dernier vautré nu sur son lit et totalement ivre ! Pour des raison obscure, sans doute expliquée par le taux d’alcoolémie de l'ivrogne notoire<ref>Anonyme, ''Humeurs hérétiques. La Bible pour les caves'', 2017 - [https://humeursheretiques.noblogs.org/ En ligne]</ref>, le grand-père punit son petit-fils — et non son fils — à être esclave de ses égaux. Ainsi que toute sa descendance. Le passage de la racine grecque dans la langue française se note ''doule'' ou ''dule''. Très peu usitée, elle se retrouve dans les mot ''iconodoule'', ''iconodule'' et ''iconodulie'' qui désignent un mouvement religieux vénérant les représentation<ref> | + | L'étymologie grecque ancienne ''𐀈𐀁𐀫'' est un emprunt aux langue moyen-orientale qui utilisent des forme proche et des sens similaire, tel 𒁕𒀝𒂵𒇻 (daggālu) en babylonien ou ''dōʾēlu'' en cananéen reconstitué. Selon les mythologie moïsienne et christienne, l'antique "Pays de Canaan" est ainsi nommé en référence à Canaan, le petit-fils de Noé, condamné par ce dernier à être l'esclave de ses deux frère. Le prétexte alambiqué invoqué est que son propre père — le fils de Noé — ait vu ce dernier vautré nu sur son lit et totalement ivre ! Pour des raison obscure, sans doute expliquée par le taux d’alcoolémie de l'ivrogne notoire<ref>Anonyme, ''Humeurs hérétiques. La Bible pour les caves'', 2017 - [https://humeursheretiques.noblogs.org/ En ligne]</ref>, le grand-père punit son petit-fils — et non son fils — à être esclave de ses égaux. Ainsi que toute sa descendance. Le passage de la racine grecque dans la langue française se note ''doule'' ou ''dule''. Très peu usitée, elle se retrouve dans les mot ''iconodoule'', ''iconodule'' et ''iconodulie'' qui désignent un mouvement religieux vénérant les représentation<ref>Iconodule est l'opposé de iconoclaste. </ref>, dans le prénom Théodule ou dans ''hiérodule'' qui mêle esclavage et sexualité. ''Aduler'', par exemple, est un faux-ami car il n'est pas constitué, selon les étymologiste, du privatif ''a-'' et de la racine ''dule'' mais dérive du latin ''adulor'' qui signifie "flatter" ou "caresser" par intérêt, et non "absence de servitude". Néanmoins, pour la [[Protivophilie|protivophilie]], le caractère intéressé de l'adulation peut sous-entendre que ses aspect excessif dénotent une possibilité de ridiculiser le lien d'esclavage<ref>Voir Hans Christian Andersen, ''Les habits neufs de l'empereur'', 1837 - [https://fr.wikisource.org/wiki/Contes_d%E2%80%99Andersen/Les_Habits_neufs_du_Grand-Duc En ligne]</ref>. |
== Utilisation == | == Utilisation == | ||
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[[Fichier:sachoir.png|200px|vignette|droite|À sachoir...]] | [[Fichier:sachoir.png|200px|vignette|droite|À sachoir...]] | ||
− | Les nom et les adjectif ne s'accordent jamais en nombre car le pluriel est indiqué par l'article qui les précède. La notation du ''s'' pluriel est une redondance grammaticale. L'utilisation de l'article pluriel ''les'' dans la phrase "''Les espoir ridicule''" suffit à faire comprendre la pluralité de la situation et l'inutilité de le marteler successivement avec trois ''s''. Des exception persistent pour des pluriel, différent de la forme au singulier, et qui se maintiennent à la discrétion de la personne rédactrice. Il est néanmoins préférable d'utiliser ''des cheval'' plutôt que ''des chevaux'', même si les chance d'incompréhension sont infime. Idem pour ''des œil'' ou ''des ail'' plutôt que ''des yeux'' et ''des aulx''. | + | Les nom et les adjectif ne s'accordent jamais en nombre car le pluriel est indiqué par l'article qui les précède. La notation du ''s'' pluriel est une redondance grammaticale. L'utilisation de l'article pluriel ''les'' dans la phrase "''Les espoir ridicule''" suffit à faire comprendre la pluralité de la situation et l'inutilité de le marteler successivement avec trois ''s''. Des exception persistent pour des pluriel, différent de la forme au singulier, et qui se maintiennent à la discrétion de la personne rédactrice. Il est néanmoins préférable d'utiliser ''des cheval'' plutôt que ''des chevaux'', même si les chance d'incompréhension sont infime. Idem pour ''des œil'' ou ''des ail'' plutôt que ''des yeux'' et ''des aulx''. Mais plutôt ''des égaux'' que ''des égal''. |
L'accord de genre existe pour les adjectif qui prennent la marque du nom qu'ils qualifient. "''Une attente vaine''" et "''Des croyance futile''" répondent aux même règle. Pour l'utilisation d'un genre pour les espèce animale autre que les hominine, libre à chaque personne d'employer indistinctement le masculin ou le féminin pour les nommer. L'ancien ''un fourmi''<ref>Voir "fourmi" sur le ''Trésor de la langue française'' - [https://www.cnrtl.fr/etymologie/fourmi En ligne]</ref> a tout autant sa place que ''une chien'' ou ''un vache'', même si la proximité des hominine avec ces deux espèce peut nécessiter de les différencier selon leur sexe biologique. Pour l'élevage et les sexualité marginale par exemple. Afin de faciliter la lecture, les pronom personnel de la troisième personne du singulier et du pluriel sont adapté pour être en cohérence dans un même texte. | L'accord de genre existe pour les adjectif qui prennent la marque du nom qu'ils qualifient. "''Une attente vaine''" et "''Des croyance futile''" répondent aux même règle. Pour l'utilisation d'un genre pour les espèce animale autre que les hominine, libre à chaque personne d'employer indistinctement le masculin ou le féminin pour les nommer. L'ancien ''un fourmi''<ref>Voir "fourmi" sur le ''Trésor de la langue française'' - [https://www.cnrtl.fr/etymologie/fourmi En ligne]</ref> a tout autant sa place que ''une chien'' ou ''un vache'', même si la proximité des hominine avec ces deux espèce peut nécessiter de les différencier selon leur sexe biologique. Pour l'élevage et les sexualité marginale par exemple. Afin de faciliter la lecture, les pronom personnel de la troisième personne du singulier et du pluriel sont adapté pour être en cohérence dans un même texte. | ||
− | Pour les hominine, le projet protivophile d'un pronom inclusif a été abandonné. Le néologisme ''ielluinousvous'', qui regroupe les hominine qui ne désirent pas d'assignation de genre — iel —, qui le sont au féminin ou au masculin — elle ou lui —, les personnalité multiple et les schizophrène — nous — et les hominine qui rejettent d'être ''ielluinous'' — vous —, n'a pas été retenu car trop long et trop imprécis. La possibilité de faire de ''ego'' un pronom personnel neutre, par delà les stratification sociale et les différence biologique, n'est pas une pratique courante. | + | Pour les hominine, le projet protivophile d'un pronom inclusif a été abandonné. Le néologisme ''ielluinousvous'', qui regroupe les hominine qui ne désirent pas d'assignation de genre — iel —, qui le sont au féminin ou au masculin — elle ou lui —, les personnalité multiple et les schizophrène — nous — et les hominine qui rejettent d'être ''ielluinous'' — vous —, n'a pas été retenu car trop long et trop imprécis. La possibilité de faire de ''ego'' un pronom personnel neutre, par delà les stratification sociale et les différence biologique, n'est pas une pratique courante<ref>Le mouvement religieux et culturel jamaïcain rastafarien utilise son propre ''patwa'', une forme de créolisation de la langue anglaise, dans lequel il n'existe que les pronom personnel ''I'' "je" et ''I&I'' qui s'emploie pour "toi" et "nous"</ref>. |
''Egodule'' n'est pas un mot genré — ni masculin, féminin ou autre — et n'induit donc aucun accord de genre. Il s'emploie sans article et s'écrit toujours avec une majuscule. Son pluriel est ''Bidule'', quelque soit le nombre de ''Egodule''. Lorsque ''Egodule'' et son pluriel sont les sujet, le verbe ou l'adjectif s'accordent en nombre. Pour préserver la neutralité grammaticale de ''Egodule'' il peut s'avérer indispensable de recourir à des tournure de phrase particulière pour ne pas avoir à choisir entre des forme masculine ou féminine. Si cela exclu une partie du vocabulaire, cela permet de piocher dans les synonyme. | ''Egodule'' n'est pas un mot genré — ni masculin, féminin ou autre — et n'induit donc aucun accord de genre. Il s'emploie sans article et s'écrit toujours avec une majuscule. Son pluriel est ''Bidule'', quelque soit le nombre de ''Egodule''. Lorsque ''Egodule'' et son pluriel sont les sujet, le verbe ou l'adjectif s'accordent en nombre. Pour préserver la neutralité grammaticale de ''Egodule'' il peut s'avérer indispensable de recourir à des tournure de phrase particulière pour ne pas avoir à choisir entre des forme masculine ou féminine. Si cela exclu une partie du vocabulaire, cela permet de piocher dans les synonyme. | ||
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Bien plus que l'histoire d'un mot, elle est celle d'une question qui taraude les hominine depuis maintenant des millénaire : "''Je ?''" La liste des subtilité de langage pour y répondre est longue. Du close-combat de l'individu à l'ouverture du dividu, de la singularité à la subjectivité radicale, de l'egosolisme de [[Ladislav Klíma]] à l'Unique stirnerien en passant par l'êtr'xistant<ref name="#tou">Voir "Le Tout, le Rien" dans F. Merdjanov, ''Analectes de rien'', 2017 - [https://analectes2rien.legtux.org/index.php/15-inedits/398-le-tout-le-rien-2 En ligne]</ref> de [[F. Merdjanov]], de l'ego psychanalytique à l'outre-hominine de Nietzsche, ''La sensibilité individualiste'' de Georges Palante<ref>Georges Palante, ''La sensibilité individualiste'', 1909 - [http://kropot.free.fr/Palante-individu.htm En ligne]</ref> rejoint ''Le cercle'' de Kabal<ref>Kabal, "Le cercle", ''La conscience s'élève'', 1995 - [https://www.youtube.com/watch?v=GdXBOig_JJw En ligne]</ref>. Que de tentative pour analyser l'évidence partagée mais mystérieuse que soi n'est pas être l'autre et toute les conséquence qui découlent d'une telle situation. Le terme ''Egodule'' s'inscrit dans cette buissonnante réflexion. | Bien plus que l'histoire d'un mot, elle est celle d'une question qui taraude les hominine depuis maintenant des millénaire : "''Je ?''" La liste des subtilité de langage pour y répondre est longue. Du close-combat de l'individu à l'ouverture du dividu, de la singularité à la subjectivité radicale, de l'egosolisme de [[Ladislav Klíma]] à l'Unique stirnerien en passant par l'êtr'xistant<ref name="#tou">Voir "Le Tout, le Rien" dans F. Merdjanov, ''Analectes de rien'', 2017 - [https://analectes2rien.legtux.org/index.php/15-inedits/398-le-tout-le-rien-2 En ligne]</ref> de [[F. Merdjanov]], de l'ego psychanalytique à l'outre-hominine de Nietzsche, ''La sensibilité individualiste'' de Georges Palante<ref>Georges Palante, ''La sensibilité individualiste'', 1909 - [http://kropot.free.fr/Palante-individu.htm En ligne]</ref> rejoint ''Le cercle'' de Kabal<ref>Kabal, "Le cercle", ''La conscience s'élève'', 1995 - [https://www.youtube.com/watch?v=GdXBOig_JJw En ligne]</ref>. Que de tentative pour analyser l'évidence partagée mais mystérieuse que soi n'est pas être l'autre et toute les conséquence qui découlent d'une telle situation. Le terme ''Egodule'' s'inscrit dans cette buissonnante réflexion. | ||
− | Il est difficile de dater avec précision l'apparition de ''Egodule'', tant ses racine sont obscure et son parcours chaotique. La seule trace écrite attestée à ce jour se trouve dans ''Poésie par le fait / faire''<ref>''Poésie par le fait / faire'', Z-ditions de l'Amphigouri, 2021 - [https://analectes2rien.legtux.org/images/PDF/Poezi.pdf En ligne]</ref>, un ouvrage inconnu publié récemment aux Z-ditions de l'Amphigouri et consacré aux avant-garde artistique dans la Russie du début du XX<sup><small>ème</small></sup> siècle après JC<sup>Ⓒ</sup><ref>JC<sup>Ⓒ</sup></ref>. Elle y figure sous les forme ''Egodule'' et ''egodoule'' sans majuscule<ref>Plus rare, ''egodoulisme'' est aussi mentionné dans ce texte. </ref>. D'après la [[Protivophilie|protivophilie]], c'est la première fois que ces deux forme se retrouvent dans un même écrit. Malgré ces différence orthographique, la synonymie semble totale entre les deux. Comme des millier de mot utilisé dans la langue courante, ''Egodule'' n'est pas référencé dans les dictionnaire et les lexique. Et ne le sera sans doute jamais. | + | Il est difficile de dater avec précision l'apparition de ''Egodule'', tant ses racine sont obscure et son parcours chaotique. La seule trace écrite attestée à ce jour se trouve dans ''Poésie par le fait / faire''<ref>''Poésie par le fait / faire'', Z-ditions de l'Amphigouri, 2021 - [https://analectes2rien.legtux.org/images/PDF/Poezi.pdf En ligne]</ref>, un ouvrage inconnu publié récemment aux Z-ditions de l'Amphigouri et consacré aux avant-garde artistique dans la Russie du début du XX<sup><small>ème</small></sup> siècle après JC<sup>Ⓒ</sup><ref>Afin de garder son identité secrète et le préserver ainsi du lynchage ou des insulte, les christien appellent généralement leur prophète JC<sup>Ⓒ</sup> pour qu'il ne soit pas exposé à la colère de Egodule ou Bidule qui sont plein de rancœur à son encontre.</ref>. Elle y figure sous les forme ''Egodule'' et ''egodoule'' sans majuscule<ref>Plus rare, ''egodoulisme'' est aussi mentionné dans ce texte. </ref>. D'après la [[Protivophilie|protivophilie]], c'est la première fois que ces deux forme se retrouvent dans un même écrit. Malgré ces différence orthographique, la synonymie semble totale entre les deux. Comme des millier de mot utilisé dans la langue courante, ''Egodule'' n'est pas référencé dans les dictionnaire et les lexique. Et ne le sera sans doute jamais. |
== Définition == | == Définition == | ||
− | La condition indispensable pour être Egodule est d'appartenir à l'espèce des hominine. Bidule sont multiple. L'étymologie indique qu'il s'agit | + | La condition indispensable pour être Egodule est d'appartenir à l'espèce des hominine. Bidule sont multiple. Egodule est de tous les genre, les taille, les forme, les couleur, les géographie et les odeur. Bref, de tous les gabarit des hominine. Egodule est un nuancier. L'étymologie indique qu'il s'agit d'être au service de soi-même. Par conséquent, Egodule rejette les assignation sociale, les classification et les hiérarchisation. Toute, sans exception, sont à questionner. Toute sont à piétiner. Pour Egodule l'orgasme absolu ne se résume pas à une gigantesque ''rainbow shower''<ref>La ''rainbow shower'' ou "douche arc-en-ciel" est une pratique sexuelle qui consiste à provoquer le vomissement par l'introduction dans la bouche de ses partenaire de partie de son propre corps ou des objet. Soit de se le faire soi-même. Recevoir et émettre sont deux plaisir différent.</ref>, aux morceau coloré de morale, de société, de religion et de convention. Ni à être la serpillière de ces souillure. Pour Egodule, la pleine jouissance est un acte volontaire et égalitaire à Bidule. Même la ''rainbow shower'' peut l'être. En dehors de cela il n'y a ni Egodule, ni Bidule, mais juste des hominine qui asservissent. Juste un vomi relationnel. |
<blockquote>''Egodule, hominine refusant les entraves. Une réappropriation individuelle de l’existant, une multiplicité d’uniques qui s’acharnent à le détruire totalement. Sans relâche. Par nécessité autant que par plaisir. Loin d’une idéalisation d’un passé enchanteur qui n’a jamais existé ou du fantasme d’un futur meilleur qui se fait toujours attendre, Egodule est l’infinité de possibilités d’une poétisation de l’existant au présent. Une poétisation qui s’exprime contre tout. Pour rien.''<ref>Voir l'avant-lire à ''Poésie par le fait/faire'', Z-ditions de l'Amphigouri, 2021 - [https://analectes2rien.legtux.org/images/PDF/poezi.pdf En ligne]</ref></blockquote> | <blockquote>''Egodule, hominine refusant les entraves. Une réappropriation individuelle de l’existant, une multiplicité d’uniques qui s’acharnent à le détruire totalement. Sans relâche. Par nécessité autant que par plaisir. Loin d’une idéalisation d’un passé enchanteur qui n’a jamais existé ou du fantasme d’un futur meilleur qui se fait toujours attendre, Egodule est l’infinité de possibilités d’une poétisation de l’existant au présent. Une poétisation qui s’exprime contre tout. Pour rien.''<ref>Voir l'avant-lire à ''Poésie par le fait/faire'', Z-ditions de l'Amphigouri, 2021 - [https://analectes2rien.legtux.org/images/PDF/poezi.pdf En ligne]</ref></blockquote> | ||
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− | Selon le néologisme de Velimir Khlebnikov, Egodule est ''combaète'', une [[macédoine]] de combat et de poésie. Selon | + | Selon le néologisme de Velimir Khlebnikov, Egodule est ''combaète'', une [[macédoine]] de combat et de poésie. Selon la traduction de ''poietz'', proposée par le stand-upper Yvan Mignot<ref>Yvan Mignot dans le stand-up ''Khlebnikov dans la steppe stellaire'', 2018 - [https://www.youtube.com/watch?v=n7amp8M8z38 En ligne]</ref>, forgé à partir du russe ''poèt'' (poète) et ''boïetz'' (combattant). Egodule n'a rien à défendre. Être contre tout c'est prendre le risque de s'interroger en permanence, de refuser les destination proposée pour explorer les chemin non-tracé. Il ne s'agit pas de s'inventer un nouvel imaginaire mais de désinventer ceux existant. Egodule fait dans le réalisme, pas l'illusionnisme. La destruction est son hobby favori. Lorsque le combaète — section MMA — Élie "Booba" Yaffa<ref>Malgré les rumeur persistante et les annonce de la fin de carrière d'Élie "Booba" Yaffa, la protivophilie décide de continuer ses recherche</ref> affirme "''J'me tue quand j'ai besoin de naître''"<ref>Booba, "GP", ''Ultra'', 2021 - [https://www.youtube.com/watch?v=bQkOSFvyIwY En ligne]</ref>, il résume ce que [[F. Merdjanov]] définit verbeusement comme ''êtr'xistant'' et qui s'apparente à la démarche de Egodule : |
<blockquote>''À un certain monde j’appartiens et je renie pourtant ce monde comme identité ; c’est une ethnologie du soi, de mon propre moi, que je tente, volition et déconditionnement étant les maîtres mots de ma réflexion. Devant l’impasse nihiliste se pose non pas la question du ''Que faire ?'' mais plutôt du ''Comment faire ?'' [...] Mon point de départ est sensible. D’une simple chose je tire une observation d’où découle un enseignement mais non pas une doctrine. Au-delà d’une apparence modeste réside une signification propre pour qui prend le temps de l’étudier. Mon champ d’expression est partout présent ; mon êtr’xistant fait caisse de résonance des scènes qui l’entourent. [...] Ce n’est pas à un utopique "état de nature" auquel j’aspire mais à un réel "esprit de nature", dépassant la pure spéculation intellectuelle d’interprétation du monde pour enfin vivre pleinement ; devenir et être car je suis ce(-lui) que je suis sans peut-être ne jamais le savoir. Artiste du moi je crée l’esthétisme du soi.''<ref name="#tou" /></blockquote> | <blockquote>''À un certain monde j’appartiens et je renie pourtant ce monde comme identité ; c’est une ethnologie du soi, de mon propre moi, que je tente, volition et déconditionnement étant les maîtres mots de ma réflexion. Devant l’impasse nihiliste se pose non pas la question du ''Que faire ?'' mais plutôt du ''Comment faire ?'' [...] Mon point de départ est sensible. D’une simple chose je tire une observation d’où découle un enseignement mais non pas une doctrine. Au-delà d’une apparence modeste réside une signification propre pour qui prend le temps de l’étudier. Mon champ d’expression est partout présent ; mon êtr’xistant fait caisse de résonance des scènes qui l’entourent. [...] Ce n’est pas à un utopique "état de nature" auquel j’aspire mais à un réel "esprit de nature", dépassant la pure spéculation intellectuelle d’interprétation du monde pour enfin vivre pleinement ; devenir et être car je suis ce(-lui) que je suis sans peut-être ne jamais le savoir. Artiste du moi je crée l’esthétisme du soi.''<ref name="#tou" /></blockquote> | ||
− | La grande problématique de Egodule est Bidule, incontournable dans un monde où exister n'est pas synonyme de solitude complète. L'enjeu est de traiter Bidule avec autant d'égard que soi et que la réciproque soit vraie. Afin qu'elle puisse l'être réellement. Être Egodule pour soi implique d'être en même temps Bidule pour l'autre qui se voit aussi en Egodule. Pour être totale, la Conjuration des Égaux<ref>Conjuration des Égaux</ref> se fait conjuration de Bidule, au-delà des multiple facette qui constituent chaque Egodule, pour qu'il ne reste rien du dressage qui est en soi. Bien plus qu'un état à atteindre, une position fixe, Egodule est une tension permanente, un mouvement perpétuel, pour le simple plaisir de penser que ''Une journée sans fin''<ref>''Une journée sans fin''</ref> n'est pas un documentaire mais une fiction avec un début et une fin. | + | La grande problématique de Egodule est Bidule, incontournable dans un monde où exister n'est pas synonyme de solitude complète. L'enjeu est de traiter Bidule avec autant d'égard que soi et que la réciproque soit vraie. Afin qu'elle puisse l'être réellement. Être Egodule pour soi implique d'être en même temps Bidule pour l'autre qui se voit aussi en Egodule. Pour être totale, la Conjuration des Égaux<ref>La Conjuration des Égaux est la tentative de renversement, en 1796 en France, du pouvoir politique républicain pour lui substituer une République des Égaux qui abolira la propriété privée et promulguera "la parfaite égalité" et "le bonheur commun". Gracchus Babeuf et un dizaine de ses complice sont arrêté et mis à mort. Sylvain Maréchal, ''Le manifeste des Égaux'', 1796 [http://libertaire.pagesperso-orange.fr/portraits/egaux.htm En ligne]. Voir Philippe Buonarroti, ''Gracchus Babeuf et la conjuration des Égaux'', 1828</ref> se fait conjuration de Bidule, au-delà des multiple facette qui constituent chaque Egodule, pour qu'il ne reste rien du dressage qui est en soi. Bien plus qu'un état à atteindre, une position fixe, Egodule est une tension permanente, un mouvement perpétuel, pour le simple plaisir de penser que ''Une journée sans fin''<ref>''Une journée sans fin'', documentaire réalisé en 1993 - [https://www.youtube.com/watch?v=75foOdIsRh8 En ligne]</ref> n'est pas un documentaire mais une fiction avec un début et une fin. |
− | == | + | == Dérives == |
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L'influence de ''Egodule'' sur le langage parlé n'est pas encore clairement établi. Quel est le lien exact entre l'emploi de ''Bidule'' et l'expression populaire "''Hé, Bidule...''" pour interpeller une personne ? Cela permet à Egodule de signifier à l'autre qu'il ne s'agit pas de se parler à soi-même, et de ne pas avoir l'impression de s'auto-interpeller, tant il est vrai qu'il est toujours un peu déconcertant pour deux hominine d'avoir le même prénom ou le même déguisement. | L'influence de ''Egodule'' sur le langage parlé n'est pas encore clairement établi. Quel est le lien exact entre l'emploi de ''Bidule'' et l'expression populaire "''Hé, Bidule...''" pour interpeller une personne ? Cela permet à Egodule de signifier à l'autre qu'il ne s'agit pas de se parler à soi-même, et de ne pas avoir l'impression de s'auto-interpeller, tant il est vrai qu'il est toujours un peu déconcertant pour deux hominine d'avoir le même prénom ou le même déguisement. | ||
Depuis qu'il est attesté, le terme de ''Egodule'' exerce une influence discrète sur des glissement de sens qui se font sentir sur plusieurs mot de la langue française. Ce phénomène est classique dans les pratique linguistique où les définition varient parfois au fil des siècle, dans un sens ou virevoltant. Largement utilisé par la [[protivophilie]], les terme ''[[analecte]]'' et ''[[rien]]'' ont aussi connu des période lors desquelle leurs définition et les contexte d'utilisation étaient différent. Parfois de simple variation, parfois des sens contraire. | Depuis qu'il est attesté, le terme de ''Egodule'' exerce une influence discrète sur des glissement de sens qui se font sentir sur plusieurs mot de la langue française. Ce phénomène est classique dans les pratique linguistique où les définition varient parfois au fil des siècle, dans un sens ou virevoltant. Largement utilisé par la [[protivophilie]], les terme ''[[analecte]]'' et ''[[rien]]'' ont aussi connu des période lors desquelle leurs définition et les contexte d'utilisation étaient différent. Parfois de simple variation, parfois des sens contraire. | ||
− | * Adule | + | [[Fichier:Not.jpg|300px|vignette|droite|Egodule à la dérive]] |
+ | * '''Adule''' | ||
+ | La réappropriation de ''adule'' permet de s'extraire de son aspect négatif — servir avec intérêt<ref>Voir "adule" sur le ''Trésor de la langue française'' - [https://www.cnrtl.fr/definition/adule En ligne]</ref> — pour inverser son sens en simulant une étymologie basée sur le ''a-'' privatif. Ainsi, il n'est plus question de service rendu mais d'absence de servitude. Alors que l'hominine adule, Egodule est en Adule. La différence est fondamentale. | ||
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+ | * '''Egodoule''' | ||
+ | Uniquement utilisé avec une minuscule, ''egodoule'' est un principe qui plonge ses racine au plus profond de ce qui fait Egodule, la douleur et son absence. Il désigne les pratique sexuelle cherchant le plaisir dans les contrainte et la douleur physique ou psychologique, dont certaine ne sont pas sans rappeler ce que les hominine nomment BDSM ou sexualité tordue. | ||
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+ | * '''Hiérodule''' | ||
+ | De ''hiéro'' "sacré", un ou une ''hiérodule''<ref>Voir "hiérodule" ou "hiérodoule" sur le ''Trésor de la langue française'' - [https://www.cnrtl.fr/definition/hiérodule En ligne]</ref> est l'esclave dans certain temple de l'antiquité grecque. Dans les fait il est synonyme de prostitution au masculin et au féminin au nom du sacré. Comme l'est l'"Homme préhistorique" pour les hominine, ''Hiérodule'' est, pour Egodule, une sorte d'archétype fantasmé de ce qui n'est plus ou ne sera plus, un repoussoir, Egodule d'hier. | ||
− | * | + | * '''Module''' |
+ | Un ''module''<ref>Voir "module" sur le ''Trésor de la langue française'' - [https://www.cnrtl.fr/definition/module En ligne]</ref> est une unité de mesure, un coefficient entre deux chose. Son étymologie latine est ''modulus'' qui signifie "mesure". ''Moduler'' n'est pas l'action de mesurer, au sens de prendre les dimension, mais celle d'introduire des modulation, c'est-à-dire des variation, entre plusieurs chose. Ironiquement, ''Module'' désigne Egodule qui, lors d'une discussion par exemple, est dans la perte de la mesure et ne maîtrise pas son flot de mot. | ||
− | * | + | * '''Nodule''' |
+ | Selon le latin ''nodulus'', étymologiquement un ''nodule''<ref>Voir "nodule" sur le ''Trésor de la langue française'' - [https://www.cnrtl.fr/definition/nodule En ligne]</ref> est un petit nœud. Il désigne généralement un petit renflement sur une surface. Le refus du nœud symbolique qui l'étrangle ou de l'aspérité gênante est pour Egodule une manière de rejeter radicalement toute forme d'asservissement, même à soi, et de se proclamer ''Nodule''. | ||
− | * | + | * '''Ondule''' |
+ | L'ondulation est le phénomène produit par de petite onde, les ''ondule''<ref>Voir "ondule" sur le ''Trésor de la langue française'' - [https://www.cnrtl.fr/definition/ondule En ligne]</ref>, qui se propagent. À l'image des cercle concentrique qui se créent lors de jet de pierre dans l'eau et qui s’entremêlent en se propageant, ''Ondule'' est parfois préféré à Bidule pour exprimer la complexité sociale de Egodule. N'est pas le verlan de ''nodule''. | ||
− | * | + | * '''Pendule''' |
+ | En [[français]], ''pendule''<ref>Voir "pendule" sur le ''Trésor de la langue française'' - [https://www.cnrtl.fr/definition/pendule En ligne]</ref> désigne, au masculin, un système d'oscillation autour d'un point fixe et, au féminin, une horloge fonctionnant avec un balancier. ''Pendule'' est aussi une manière de décrire les oscillation existentielle, "Egodule et ses hésitation". Par auto-dérision, ''Pendule'' est utilisé pour parler dépression et illusion suicidaire chez Bidule. | ||
− | * | + | * '''Pygodule''' |
+ | La racine grecque ''pyge'' "fesse" se cache dans les mot cacopyge, callipyge, lasiopyge, stéatopyge selon que ces fesse sont jugé disgracieuse, belle, poilu ou grasse. En rupture avec ce vocabulaire pygophobe, avec le suffixe ''cole'' qui désigne le fait de "prendre soin, d'adorer ou de pratiquer", elle forme en [[français]] le terme peu usité de ''pygocole'' dans le sens de "érotisme". Ce que rend l'expression "''Qui aime le cul !''". Pygocole est aux hominine ce que ''pygodule'' est à Egodule. | ||
− | * Ridule | + | * '''Ridule''' |
− | Dans la langue classique, une ''ridule'' est un pli ou un petit sillon dans une quelconque matière, une petite ride lorsqu'il s'agit d'un visage d'hominine. | + | Dans la langue classique, une ''ridule''<ref>Voir "ridule" sur le ''Trésor de la langue française'' - [https://www.cnrtl.fr/definition/ridule En ligne]</ref> est un pli ou un petit sillon dans une quelconque matière, une petite ride lorsqu'il s'agit d'un visage d'hominine. Par extension ''Ridule'' désigne "Egodule euphorique", en référence aux nombreuse ride d'expression que les rire et les sourire impriment sur les visage. |
− | * Théodule | + | * '''Théodule''' |
+ | Le prénom ''Théodule'', composé des racine grecque ''théos'' "dieu" et ''doulos'' "serviteur, esclave", signifie littéralement "esclave de dieu". Le théisme<ref name="#the">Voir "théisme" sur le ''Trésor de la langue française'' - [https://www.cnrtl.fr/definition/Théisme En ligne]</ref> est un asservissement. Par glissement, en référence au thé qui est une plante addictive et le théisme<ref name="#the" /> son symptôme, ''Théodule'' désigne Egodule en état d'addiction, que ce soit à une quelconque substance, une situation ou Bidule. | ||
== Notes == | == Notes == | ||
<references /> | <references /> |
Version actuelle datée du 29 mai 2021 à 11:21
Egodule (егодул en macédonien - egodule en nissard). Unique mot protivophile de la langue française à contrecarrer la grammaire.
ÉtymologieLe terme Egodule se compose de la racine latine egō, avec le sens de "je" ou "moi", et du suffixe grec δοῦλον (doûlon) qui, à la fois adjectif et nom, et de genre neutre, renvoie à l'état de servitude, de soumission, et désigne aussi l'hominine[2] en esclavage[3], ou plus simplement "être au service de". La racine latine egō, prononcée \e.ɡo\, dérive d'une forme plus ancienne commune à de nombreuse autre langue en Europe avec des sonorité et des notation parfois différente. La terminaison en -o marque la première personne du singulier. Me, l'accusatif de egō dans la grammaire latine, se retrouve en français dans me avec le sens de moi. Dans cette langue, la racine egō est généralement noté avec un accent sur le e dans les mot qui en sont composé — égoïste par exemple — mais l'orthographe du mot ego se fait avec ou sans accent jusqu'aux réforme récente[4] qui fixent l'utilisation de l'accent afin de faire correspondre, pour des raison de simplification, la prononciation à la norme orthographique générale. Même lors d'emprunt à la langue anglaise médicale :
L'étymologie grecque ancienne 𐀈𐀁𐀫 est un emprunt aux langue moyen-orientale qui utilisent des forme proche et des sens similaire, tel 𒁕𒀝𒂵𒇻 (daggālu) en babylonien ou dōʾēlu en cananéen reconstitué. Selon les mythologie moïsienne et christienne, l'antique "Pays de Canaan" est ainsi nommé en référence à Canaan, le petit-fils de Noé, condamné par ce dernier à être l'esclave de ses deux frère. Le prétexte alambiqué invoqué est que son propre père — le fils de Noé — ait vu ce dernier vautré nu sur son lit et totalement ivre ! Pour des raison obscure, sans doute expliquée par le taux d’alcoolémie de l'ivrogne notoire[6], le grand-père punit son petit-fils — et non son fils — à être esclave de ses égaux. Ainsi que toute sa descendance. Le passage de la racine grecque dans la langue française se note doule ou dule. Très peu usitée, elle se retrouve dans les mot iconodoule, iconodule et iconodulie qui désignent un mouvement religieux vénérant les représentation[7], dans le prénom Théodule ou dans hiérodule qui mêle esclavage et sexualité. Aduler, par exemple, est un faux-ami car il n'est pas constitué, selon les étymologiste, du privatif a- et de la racine dule mais dérive du latin adulor qui signifie "flatter" ou "caresser" par intérêt, et non "absence de servitude". Néanmoins, pour la protivophilie, le caractère intéressé de l'adulation peut sous-entendre que ses aspect excessif dénotent une possibilité de ridiculiser le lien d'esclavage[8]. UtilisationPour pouvoir employer Egodule dans un texte, il est nécessaire de changer plusieurs règle grammaticale de la langue française standardisée sur les accord en genre et en nombre. Sans cela il n'est pas envisageable de pouvoir l'utiliser correctement. Il est donc exclu de le faire. Comme avec l'auxiliaire avoir en français, il ne faut pas accorder le verbe avec son sujet lorsque l'auxiliaire être est utilisé. Ni en genre, ni en nombre. Rien. Par contre, le verbe se conjugue lorsqu'il n'est pas séparé de son sujet par un des deux auxiliaire. En tant que verbe, être et avoir se conjuguent comme les autre verbe. Les nom et les adjectif ne s'accordent jamais en nombre car le pluriel est indiqué par l'article qui les précède. La notation du s pluriel est une redondance grammaticale. L'utilisation de l'article pluriel les dans la phrase "Les espoir ridicule" suffit à faire comprendre la pluralité de la situation et l'inutilité de le marteler successivement avec trois s. Des exception persistent pour des pluriel, différent de la forme au singulier, et qui se maintiennent à la discrétion de la personne rédactrice. Il est néanmoins préférable d'utiliser des cheval plutôt que des chevaux, même si les chance d'incompréhension sont infime. Idem pour des œil ou des ail plutôt que des yeux et des aulx. Mais plutôt des égaux que des égal. L'accord de genre existe pour les adjectif qui prennent la marque du nom qu'ils qualifient. "Une attente vaine" et "Des croyance futile" répondent aux même règle. Pour l'utilisation d'un genre pour les espèce animale autre que les hominine, libre à chaque personne d'employer indistinctement le masculin ou le féminin pour les nommer. L'ancien un fourmi[9] a tout autant sa place que une chien ou un vache, même si la proximité des hominine avec ces deux espèce peut nécessiter de les différencier selon leur sexe biologique. Pour l'élevage et les sexualité marginale par exemple. Afin de faciliter la lecture, les pronom personnel de la troisième personne du singulier et du pluriel sont adapté pour être en cohérence dans un même texte. Pour les hominine, le projet protivophile d'un pronom inclusif a été abandonné. Le néologisme ielluinousvous, qui regroupe les hominine qui ne désirent pas d'assignation de genre — iel —, qui le sont au féminin ou au masculin — elle ou lui —, les personnalité multiple et les schizophrène — nous — et les hominine qui rejettent d'être ielluinous — vous —, n'a pas été retenu car trop long et trop imprécis. La possibilité de faire de ego un pronom personnel neutre, par delà les stratification sociale et les différence biologique, n'est pas une pratique courante[10]. Egodule n'est pas un mot genré — ni masculin, féminin ou autre — et n'induit donc aucun accord de genre. Il s'emploie sans article et s'écrit toujours avec une majuscule. Son pluriel est Bidule, quelque soit le nombre de Egodule. Lorsque Egodule et son pluriel sont les sujet, le verbe ou l'adjectif s'accordent en nombre. Pour préserver la neutralité grammaticale de Egodule il peut s'avérer indispensable de recourir à des tournure de phrase particulière pour ne pas avoir à choisir entre des forme masculine ou féminine. Si cela exclu une partie du vocabulaire, cela permet de piocher dans les synonyme. Histoire
Bien plus que l'histoire d'un mot, elle est celle d'une question qui taraude les hominine depuis maintenant des millénaire : "Je ?" La liste des subtilité de langage pour y répondre est longue. Du close-combat de l'individu à l'ouverture du dividu, de la singularité à la subjectivité radicale, de l'egosolisme de Ladislav Klíma à l'Unique stirnerien en passant par l'êtr'xistant[12] de F. Merdjanov, de l'ego psychanalytique à l'outre-hominine de Nietzsche, La sensibilité individualiste de Georges Palante[13] rejoint Le cercle de Kabal[14]. Que de tentative pour analyser l'évidence partagée mais mystérieuse que soi n'est pas être l'autre et toute les conséquence qui découlent d'une telle situation. Le terme Egodule s'inscrit dans cette buissonnante réflexion. Il est difficile de dater avec précision l'apparition de Egodule, tant ses racine sont obscure et son parcours chaotique. La seule trace écrite attestée à ce jour se trouve dans Poésie par le fait / faire[15], un ouvrage inconnu publié récemment aux Z-ditions de l'Amphigouri et consacré aux avant-garde artistique dans la Russie du début du XXème siècle après JCⒸ[16]. Elle y figure sous les forme Egodule et egodoule sans majuscule[17]. D'après la protivophilie, c'est la première fois que ces deux forme se retrouvent dans un même écrit. Malgré ces différence orthographique, la synonymie semble totale entre les deux. Comme des millier de mot utilisé dans la langue courante, Egodule n'est pas référencé dans les dictionnaire et les lexique. Et ne le sera sans doute jamais. DéfinitionLa condition indispensable pour être Egodule est d'appartenir à l'espèce des hominine. Bidule sont multiple. Egodule est de tous les genre, les taille, les forme, les couleur, les géographie et les odeur. Bref, de tous les gabarit des hominine. Egodule est un nuancier. L'étymologie indique qu'il s'agit d'être au service de soi-même. Par conséquent, Egodule rejette les assignation sociale, les classification et les hiérarchisation. Toute, sans exception, sont à questionner. Toute sont à piétiner. Pour Egodule l'orgasme absolu ne se résume pas à une gigantesque rainbow shower[18], aux morceau coloré de morale, de société, de religion et de convention. Ni à être la serpillière de ces souillure. Pour Egodule, la pleine jouissance est un acte volontaire et égalitaire à Bidule. Même la rainbow shower peut l'être. En dehors de cela il n'y a ni Egodule, ni Bidule, mais juste des hominine qui asservissent. Juste un vomi relationnel.
Bien plus qu'une autopsie qui désosse son corps ou qu'une auto-psy qui décause son esprit, Egodule se dote d'une joie armée[20] de ce qui lui tombe sous la main pour tout réduire à rien. L'espoir ou le désespoir n'ont rien à voir avec cela. Juste le plaisir de se sentir un rouage défaillant. De faire tout pour que rien ne soit plus. Ou même faire rien. Être Egodule signifie poétiser l'existant, non pour l'exalter mais pour le refuser. S'imaginer tourterelle et aller chier sur des église, être la fiente qui ronge doucement l'édifice, l'étincelle des flamme qui défigurent la Joconde et ravagent totalement le Louvre, ou le caillou qui traverse une vitrine après des milliard d'année de déambulation géologique. La "poétisation de l’existant au présent" n'a rien à voir avec la poésie. Cela s'exprime dès l'enfance par des aphorisme profond de type "Le monde ? Ça pue du cul !" jusqu'à chez l'adulte se réduire à un simple "?!".
Selon le néologisme de Velimir Khlebnikov, Egodule est combaète, une macédoine de combat et de poésie. Selon la traduction de poietz, proposée par le stand-upper Yvan Mignot[22], forgé à partir du russe poèt (poète) et boïetz (combattant). Egodule n'a rien à défendre. Être contre tout c'est prendre le risque de s'interroger en permanence, de refuser les destination proposée pour explorer les chemin non-tracé. Il ne s'agit pas de s'inventer un nouvel imaginaire mais de désinventer ceux existant. Egodule fait dans le réalisme, pas l'illusionnisme. La destruction est son hobby favori. Lorsque le combaète — section MMA — Élie "Booba" Yaffa[23] affirme "J'me tue quand j'ai besoin de naître"[24], il résume ce que F. Merdjanov définit verbeusement comme êtr'xistant et qui s'apparente à la démarche de Egodule :
La grande problématique de Egodule est Bidule, incontournable dans un monde où exister n'est pas synonyme de solitude complète. L'enjeu est de traiter Bidule avec autant d'égard que soi et que la réciproque soit vraie. Afin qu'elle puisse l'être réellement. Être Egodule pour soi implique d'être en même temps Bidule pour l'autre qui se voit aussi en Egodule. Pour être totale, la Conjuration des Égaux[25] se fait conjuration de Bidule, au-delà des multiple facette qui constituent chaque Egodule, pour qu'il ne reste rien du dressage qui est en soi. Bien plus qu'un état à atteindre, une position fixe, Egodule est une tension permanente, un mouvement perpétuel, pour le simple plaisir de penser que Une journée sans fin[26] n'est pas un documentaire mais une fiction avec un début et une fin. DérivesL'influence de Egodule sur le langage parlé n'est pas encore clairement établi. Quel est le lien exact entre l'emploi de Bidule et l'expression populaire "Hé, Bidule..." pour interpeller une personne ? Cela permet à Egodule de signifier à l'autre qu'il ne s'agit pas de se parler à soi-même, et de ne pas avoir l'impression de s'auto-interpeller, tant il est vrai qu'il est toujours un peu déconcertant pour deux hominine d'avoir le même prénom ou le même déguisement. Depuis qu'il est attesté, le terme de Egodule exerce une influence discrète sur des glissement de sens qui se font sentir sur plusieurs mot de la langue française. Ce phénomène est classique dans les pratique linguistique où les définition varient parfois au fil des siècle, dans un sens ou virevoltant. Largement utilisé par la protivophilie, les terme analecte et rien ont aussi connu des période lors desquelle leurs définition et les contexte d'utilisation étaient différent. Parfois de simple variation, parfois des sens contraire.
La réappropriation de adule permet de s'extraire de son aspect négatif — servir avec intérêt[27] — pour inverser son sens en simulant une étymologie basée sur le a- privatif. Ainsi, il n'est plus question de service rendu mais d'absence de servitude. Alors que l'hominine adule, Egodule est en Adule. La différence est fondamentale.
Uniquement utilisé avec une minuscule, egodoule est un principe qui plonge ses racine au plus profond de ce qui fait Egodule, la douleur et son absence. Il désigne les pratique sexuelle cherchant le plaisir dans les contrainte et la douleur physique ou psychologique, dont certaine ne sont pas sans rappeler ce que les hominine nomment BDSM ou sexualité tordue.
De hiéro "sacré", un ou une hiérodule[28] est l'esclave dans certain temple de l'antiquité grecque. Dans les fait il est synonyme de prostitution au masculin et au féminin au nom du sacré. Comme l'est l'"Homme préhistorique" pour les hominine, Hiérodule est, pour Egodule, une sorte d'archétype fantasmé de ce qui n'est plus ou ne sera plus, un repoussoir, Egodule d'hier.
Un module[29] est une unité de mesure, un coefficient entre deux chose. Son étymologie latine est modulus qui signifie "mesure". Moduler n'est pas l'action de mesurer, au sens de prendre les dimension, mais celle d'introduire des modulation, c'est-à-dire des variation, entre plusieurs chose. Ironiquement, Module désigne Egodule qui, lors d'une discussion par exemple, est dans la perte de la mesure et ne maîtrise pas son flot de mot.
Selon le latin nodulus, étymologiquement un nodule[30] est un petit nœud. Il désigne généralement un petit renflement sur une surface. Le refus du nœud symbolique qui l'étrangle ou de l'aspérité gênante est pour Egodule une manière de rejeter radicalement toute forme d'asservissement, même à soi, et de se proclamer Nodule.
L'ondulation est le phénomène produit par de petite onde, les ondule[31], qui se propagent. À l'image des cercle concentrique qui se créent lors de jet de pierre dans l'eau et qui s’entremêlent en se propageant, Ondule est parfois préféré à Bidule pour exprimer la complexité sociale de Egodule. N'est pas le verlan de nodule.
En français, pendule[32] désigne, au masculin, un système d'oscillation autour d'un point fixe et, au féminin, une horloge fonctionnant avec un balancier. Pendule est aussi une manière de décrire les oscillation existentielle, "Egodule et ses hésitation". Par auto-dérision, Pendule est utilisé pour parler dépression et illusion suicidaire chez Bidule.
La racine grecque pyge "fesse" se cache dans les mot cacopyge, callipyge, lasiopyge, stéatopyge selon que ces fesse sont jugé disgracieuse, belle, poilu ou grasse. En rupture avec ce vocabulaire pygophobe, avec le suffixe cole qui désigne le fait de "prendre soin, d'adorer ou de pratiquer", elle forme en français le terme peu usité de pygocole dans le sens de "érotisme". Ce que rend l'expression "Qui aime le cul !". Pygocole est aux hominine ce que pygodule est à Egodule.
Dans la langue classique, une ridule[33] est un pli ou un petit sillon dans une quelconque matière, une petite ride lorsqu'il s'agit d'un visage d'hominine. Par extension Ridule désigne "Egodule euphorique", en référence aux nombreuse ride d'expression que les rire et les sourire impriment sur les visage.
Le prénom Théodule, composé des racine grecque théos "dieu" et doulos "serviteur, esclave", signifie littéralement "esclave de dieu". Le théisme[34] est un asservissement. Par glissement, en référence au thé qui est une plante addictive et le théisme[34] son symptôme, Théodule désigne Egodule en état d'addiction, que ce soit à une quelconque substance, une situation ou Bidule. Notes
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