Cocovores : Différence entre versions

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Pour les hominines, le cocotier est une plante à usages multiples depuis des siècles. Son fruit comestible est prisé pour sa chair, contenue dans la coque, qui peut être consommée fraîche ou séchée et de laquelle on obtient du lait en la pressant. Avant maturité, le fruit contient un liquide comestible et sucré, l'eau de coco. Par des procédés de séchage ou de raffinage, la chair est aussi utilisée pour fabriquer des huiles comestibles pour les hominines, du carburant végétal, des produits cosmétiques (savon, pommades) ou des remèdes médicinaux. La coque permet de créer de multiples récipients pour stocker des aliments par exemple. Les fibres qui entourent la noix de coco sont résistantes et entrent dans la fabrication des plusieurs objets tels des cordages ou des brosses. Elles peuvent être tressées. La sève qui s'écoule d'une tige sur laquelle des hominines ont fait une entaille est transformée en sirop sucré pour des boissons. Agglomérée puis séchée, elle permet de faire une sorte de sucre à râper et, fermentée, elle s'alcoolise. La tige et les feuilles sont parfois utilisées par les hominines pour des ornements corporels ou cultuels ou pour des matériaux de construction de petits abris. Sans que cela ait été confirmé, l'existence d'une perle de coco est mentionnée dans des textes qui parlent d'une perle qui se constitue au sein même du fruit lors de sa croissance. Elle est si rare que nul n'en a vu autre part que sur des photographies que beaucoup considèrent fausses.
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Pour les hominines, le cocotier est une plante à usages multiples depuis des siècles. Son fruit comestible est prisé pour sa chair, contenue dans la coque, qui peut être consommée fraîche ou séchée et de laquelle on obtient du lait en la pressant. Avant maturité, le fruit contient un liquide comestible et sucré, l'eau de coco. Par des procédés de séchage ou de raffinage, la chair est aussi utilisée pour fabriquer des huiles comestibles pour les hominines, du carburant végétal, des produits cosmétiques (savon, pommades) ou des remèdes médicinaux. La coque permet de créer de multiples récipients pour stocker des aliments par exemple. Les fibres qui entourent la noix de coco sont résistantes et entrent dans la fabrication des plusieurs objets tels des cordages ou des brosses. Elles peuvent être tressées. La sève qui s'écoule d'une tige sur laquelle des hominines ont fait une entaille est transformée en sirop sucré pour des boissons. Agglomérée puis séchée, elle permet de faire une sorte de sucre à râper et, fermentée, elle s'alcoolise. La tige et les feuilles sont parfois utilisées par les hominines pour des ornements corporels ou cultuels ou pour des matériaux de construction de petits abris. Sans que cela ait été confirmé, l'existence d'une perle de coco est mentionnée dans des textes qui parlent d'une perle qui se constitue au sein même du fruit lors de sa croissance. Elle est si rare que nul n'en a vu autre part que sur des photographies que beaucoup considèrent fausses<ref>perle de coco</ref>.
  
 
Difficile de répertorier ici tous les usages du cocotier par les hominines tant ils sont nombreux et variés dans les régions où il est présent. Si la quasi totalité des aspects culinaires de la noix de coco sont partagés par l'ensemble des hominines, il n'en est pas de même pour l'utilisation de produits dérivés du reste de la plante. Là où la coque est coupée en deux pour faire un protège-sein pour les hominines femelles, on ne porte pas nécessairement les feuilles en guise de pagne, là où la tige du cocotier est utilisée pour sa solidité on ne se sert pas nécessairement des fibres, etc. Malgré ses recherches - qui continuent - la [[protivophilie]] n'a pu trouver trace pour l'instant d'une utilisation de la noix de coco, peut-être percée de trois trous pour y glisser les doigts, pour un jeu consistant à renverser des objets alignés. S'il s'avérait que cette intuition soit démontrée par la suite par l'archéologie ou l'homininologie, ceci ferait des jeux de quilles et du bowling<ref>bowling</ref> des formes de "réappropriation culturelle"<ref>réappropriation culturelle</ref>.
 
Difficile de répertorier ici tous les usages du cocotier par les hominines tant ils sont nombreux et variés dans les régions où il est présent. Si la quasi totalité des aspects culinaires de la noix de coco sont partagés par l'ensemble des hominines, il n'en est pas de même pour l'utilisation de produits dérivés du reste de la plante. Là où la coque est coupée en deux pour faire un protège-sein pour les hominines femelles, on ne porte pas nécessairement les feuilles en guise de pagne, là où la tige du cocotier est utilisée pour sa solidité on ne se sert pas nécessairement des fibres, etc. Malgré ses recherches - qui continuent - la [[protivophilie]] n'a pu trouver trace pour l'instant d'une utilisation de la noix de coco, peut-être percée de trois trous pour y glisser les doigts, pour un jeu consistant à renverser des objets alignés. S'il s'avérait que cette intuition soit démontrée par la suite par l'archéologie ou l'homininologie, ceci ferait des jeux de quilles et du bowling<ref>bowling</ref> des formes de "réappropriation culturelle"<ref>réappropriation culturelle</ref>.

Version du 15 décembre 2019 à 19:36

Cocovores. Adeptes d'un mouvement historique d'hominines[1] plaçant la noix de coco au centre de l'existant. Parfois aussi cocophiles ou, plus rarement, cocovoriens.


[En cours de rédaction]


Cocotier

Ceci n'est pas un arbre.

Parmi les espèces végétales, le cocotier ou cocos nucifera est une plante de type "palmier" de la même famille que l'orchidée ou le bananier. Il n'est pas un arbre même s'il en a nombre d'attributs visibles. Ce qui semble être un tronc avec un bourrelet à sa base est une longue et grosse tige rigide et ses racines sont fines et peu profondes. Toutes ses feuilles émanent d'un unique bourgeon et son fruit qui se développe en régime est communément appelé "noix de coco". Le cocos nucifera est l'unique plante à produire de tels fruits. La plante dispose d'une autonomie reproductive par la fabrication de fleurs mâles et de fleurs femelles sur des périodes qui se chevauchent. Les premiers fruits apparaissent après deux ou six ans selon que le cocotier soit de type nain ou pas. La plante peut vivre plusieurs dizaines d'années avant de dépérir pour mourir progressivement.

Géographie

L'origine géographique du cocos nucifera n'est pas déterminée avec précision. La zone première semble être les vastes zones tropicales situées entre le sous-continent à l'ouest des Andaman et Nicobar, l'Inde, et le sud des îles Spratleys. Les fruits tombés au sol se déplacent en fonction de la topographie, au fil des intempéries qui les mènent parfois très loin. Leur coque contient de la chair, un liquide et un embryon reproductif qu'elle protège. Dès que le fruit s'est stabilisé à un endroit il s'implante. Les pluies, les rivières et les mers sont des vecteurs importants de l'expansion du cocotier. Sa diffusion se fait au hasard et il est probable que d'une zone première, le cocotier se soit répandu "naturellement" sur les nombreuses îles entre les océans Pacifique et Indien. Les datations des vestiges archéologiques de cocotiers[2] laissent à penser qu'entre 2500 ans avant JC[3] et le IXème siècle, les cocotiers, s'implantant sur toutes les terres au climat tropical, ont essaimé de la côte chinoise jusqu'au Darién panaméen. Le cocotier se répand aussi vers l'ouest pour atteindre les côtes de l'Afrique orientale vers le Xème siècle. Jusqu'alors épargnées par le cocotier, les régions tropicales des côtes est de l'Amérique du sud et ouest de l'Afrique voient les premières noix de coco arriver au XVIème siècle, parmi le fatras théologique, viral et militaire qu'apportent les colonisateurs ibériens[4].

Domestication

Les hominines sont aussi de bons diffuseurs de cocotiers qu'illes sèment là où les quatre éléments ne sont pas parvenus à le faire. Lors de leurs lentes migrations vers les îles de l'océan Pacifique les hominines amènent des noix de coco afin d'en implanter où illes se fixeront. La culture du cocotier par les hominines est attestée en Inde dès le VIème siècle et en Chine trois siècles plus tard. Le mélange entre les cocotiers natifs et ceux importés puis sélectionnés par les hominines est probablement à l'origine de la diversité actuelle de cocotiers de par le monde. Les cocoteraies utilisent généralement les variétés sélectionnées pour leurs fruits plus gros et une germination plus rapide. Au fil des siècles, les hominines sont parvenus à créer des variétés particulières adaptées à leur environnement (économique) et offrant le maximum de rendement. Le XXème siècle sera celui des expérimentations et des hybridations. Ces variétés modifiées à partir d'une variété naine sont plus productives mais aussi plus fragiles. Elles sont, de fait, plus exposées à leurs prédateurs qui raffolent, chacun à leur manière, s'en repaître. Du charançon du cocotier aux termites, des renards-volants aux acariens.

Actuellement, le cocotier est exploité dans 95 pays dans le monde qui exportent 59 millions de tonnes de noix de coco par an[5]. Les trois principaux producteurs sont, par ordre décroissant, l'Indonésie, les Philippines et l'Inde qui représentent à elles seules plus de 75% de ce commerce.

Usages

Boule de bowling ?

Pour les hominines, le cocotier est une plante à usages multiples depuis des siècles. Son fruit comestible est prisé pour sa chair, contenue dans la coque, qui peut être consommée fraîche ou séchée et de laquelle on obtient du lait en la pressant. Avant maturité, le fruit contient un liquide comestible et sucré, l'eau de coco. Par des procédés de séchage ou de raffinage, la chair est aussi utilisée pour fabriquer des huiles comestibles pour les hominines, du carburant végétal, des produits cosmétiques (savon, pommades) ou des remèdes médicinaux. La coque permet de créer de multiples récipients pour stocker des aliments par exemple. Les fibres qui entourent la noix de coco sont résistantes et entrent dans la fabrication des plusieurs objets tels des cordages ou des brosses. Elles peuvent être tressées. La sève qui s'écoule d'une tige sur laquelle des hominines ont fait une entaille est transformée en sirop sucré pour des boissons. Agglomérée puis séchée, elle permet de faire une sorte de sucre à râper et, fermentée, elle s'alcoolise. La tige et les feuilles sont parfois utilisées par les hominines pour des ornements corporels ou cultuels ou pour des matériaux de construction de petits abris. Sans que cela ait été confirmé, l'existence d'une perle de coco est mentionnée dans des textes qui parlent d'une perle qui se constitue au sein même du fruit lors de sa croissance. Elle est si rare que nul n'en a vu autre part que sur des photographies que beaucoup considèrent fausses[6].

Difficile de répertorier ici tous les usages du cocotier par les hominines tant ils sont nombreux et variés dans les régions où il est présent. Si la quasi totalité des aspects culinaires de la noix de coco sont partagés par l'ensemble des hominines, il n'en est pas de même pour l'utilisation de produits dérivés du reste de la plante. Là où la coque est coupée en deux pour faire un protège-sein pour les hominines femelles, on ne porte pas nécessairement les feuilles en guise de pagne, là où la tige du cocotier est utilisée pour sa solidité on ne se sert pas nécessairement des fibres, etc. Malgré ses recherches - qui continuent - la protivophilie n'a pu trouver trace pour l'instant d'une utilisation de la noix de coco, peut-être percée de trois trous pour y glisser les doigts, pour un jeu consistant à renverser des objets alignés. S'il s'avérait que cette intuition soit démontrée par la suite par l'archéologie ou l'homininologie, ceci ferait des jeux de quilles et du bowling[7] des formes de "réappropriation culturelle"[8].

Cocovoriens

Les cocovoriens sont une forme hybride de cocotier et d'hominine.

Kabakon

Bougainville

Notes

  1. Dans la classification du vivant, les hominines regroupent toutes les formes d'australopithèques et les différents types d'homo (floresiensis, luzonensis, denisovensis, neanderthalensis, egosolistus) dont il ne reste que les sapiens (humains actuels), sorte de macédoine d'homo.
  2. îles Fidji
  3. Il s'agit ici de Jésus aka Christ, le prétendu messie des christiens et non de son homonyme et champion de bowling, Jesus Quintana, qui ne parvint, lui, qu'à être le numéro deux dans la religion dudeiste dont le messie est Jeff Lebowski aka Dude. Voir le docu-fiction sur le bowling, The Big Lebowski, réalisé en 1998 par Joel et Ethan Coen. Par contre, aucun texte christien ne mentionne une pratique du bowling par JC. Même les apocryphes.
  4. ibériens
  5. 59010635 en 2016 et 60773435 en 2017. Liste des producteurs en ligne.
  6. perle de coco
  7. bowling
  8. réappropriation culturelle