Corridor de Latchin : Différence entre versions
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+ | Alors en guerre contre l'empire ottoman, le renversement du pouvoir tsariste en Russie en 1917 après JC<sup>Ⓒ</sup><ref>JC<sup>Ⓒ</sup></ref> entraîne le retrait des troupes russes du Caucase. Les mouvements nationalistes régionaux au nord et au sud de la chaîne montagneuse s'engouffrent dans ce nouvel espace politique pour proclamer l'indépendance. Au nord, la République montagnarde du Nord-Caucase voit le jour sur un territoire correspondant aux actuelles régions russes de Tchétchénie, d'Ingouchie, d'Ossétie du Nord et du Daghestan. Au sud, la république démocratique fédérative de Transcaucasie regroupant l'actuelle Arménie, la Géorgie et l'Azerbaïdjan<ref>Et quelques autres territoires</ref>. L'instauration de cette Transcaucasie ne survit pas aux intérêts politiques divergents de ces différentes composantes. L'Arménie ne peut accepter le soutien de l'empire ottoman souhaité par l'Azerbaïdjan alors qu'une partie de son territoire est occupé par les ottomans depuis les massacres et les déportations massives contre les populations d'hominines christiennes<ref>christiennes</ref> de ces régions. | ||
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Version du 30 juillet 2020 à 12:59
Corridor de Latchin. Portion meurtrière de la route qui mène le Haut-Karabagh à l'Arménie.
SommaireAccidentologieL'accidentologie est une discipline contemporaine s'occupant de collecter des données et d'établir des statistiques, voire de faire des propositions, concernant les accidents sur les routes. Elle ne comprend pas tous les types de déplacement sur ces dite routes. Malgré le nombre d'hominines parcourant les sentiers, les chemins de randonnée ou d'estive, ou encore les parcours forestiers, ceux-ci ne sont pas pris en compte. Non pas parce qu'il n'y a rien à en dire ou que les accidents y sont inexistants[2], mais parce que l'accidentologie se concentre sur les accidents survenant lors de l'utilisation des technologies mécaniques pour les déplacements, appelées aussi véhicules. Par ce filtre, elle recense l'ensemble des accidents de parcours entre deux endroits advenus lors de l'usage de véhicules dans les sociétés d'hominines, dans tous les moments de la vie sociale qui s'y déroule. Entre un domicile et un lieu de travail, entre un lieu de consommation et un espace de loisir, entre un espace social et un lieu d'enfermement. Néanmoins, elle ne comptabilise pas tous les accidents lors de transports par train, par avion ou par traction animale. Cela est du ressort d'autres disciplines statistiques. L'accidentologie se focalise sur les moyens de locomotion appelés voiture, camion, moto et vélo dont les hominines sont de grands utilisateurs. Seuls les chiffres concernant les hominines sont pris en compte car, généralement, les autres espèces animales victimes de chocs ou d'écrasements avec de tels véhicules sont considérés "responsables" des accidents. Il existe ainsi moult statistiques et analyses sur les blessures, les morts et les dégâts engendrés par ce qui est communément appelé des "accidents de la route". Par pays, par type de véhicules, par la gravité ou le type de blessures, par âge, etc. L'accidentologie est une grille de lecture moderne pour une description focale des sociétés d'hominines. Sur cette approche, les débats qui secouent la protivophilie ne sont pas tranchés. Le seront-ils ? Mais l'unanimité se fait autour du rejet de l'utilité de mettre en place des outils d'analyse sur une accidentologie spécialisée sur le camping-car et les hominines en provenance des Pays-Bas. Il lui a été préféré une catégorie impliquant des véhicules des forces de répression instituées par les différents pays et ayant causé des blessures ou des morts parmi ces milices étatiques ou des dégâts matériels. L'utilisation de véhicules modernes et techniques représente une part importante des systèmes de coercition instaurés par les sociétés d'hominines actuelles. Ils servent pour réprimer, pour mener dans des lieux d'enfermement, pour tuer, pour pourchasser et toutes les autres fonctions qui découlent de leur pouvoir coercitif. Pour rappeler leur rôle central dans les sociétés d'hominines et pour maintenir un lien avec les pratiques des hominines qui les subissent, cette discipline protivophile encore balbutiante se nomme pompeusement Accidentologie Centrée Autour des Bâtards. Connue plutôt sous le nom d'accidentologie ACAB. Les disciplines apparentées à une accidentologie protivophile sont nombreuses. Certaines se portent vers les routes qui séparent deux endroits jusqu'à en faire des cul-de-sac, deux impasses séparées dans des zones de guerres ou de conflits larvés. Par exemple la bande de Caprivi[3] en Namibie ou le corridor de Wakhan[4] en Afghanistan. Le Caucase est une région riche pour cette "protivo-accidentologie", la vallée de Pankissi[5] en Géorgie ou le corridor de Latchin, par exemple, entrent très bien dans cette catégorie. Mais il ne s'agit pas ici de dénombrer les accidents entre des véhicules ou d'autres obstacles, mais de pointer le sort de populations d'hominines se trouvant au cœur de l'une de ces routes ou ses alentours lorsque celles-ci sont au centre d'enjeux militaires entre deux sociétés d'hominines. Celles qui parfois ne tiennent qu'à un pont entre deux rives d'un fleuve ou d'un rivière. D'un ruisseau ? Celles qui longent un cours d'eau, une vallée encaissée ou une ligne de crête. Complexe latchino-corridorienDécrit par la protivophilie ce complexe tient son nom du corridor de Latchin qui désigne une vallée caucasienne, officiellement azerbaïdjanaise, s'étendant sur une trentaine de kilomètres à partir de la ville de Latchin. Au nord, cette route rejoint la ville de Stepanakert dans la région arménophone du Haut-Karabagh qui réclame son indépendance de l'Azerbaïdjan. Vers le sud, Latchin est le point de jonction vers, d'une part, l'Arménie et, d'autre part, vers la province azerbaïdjanaise du Nakhitchevan. Le corridor est le chemin le plus court pour ces déplacements. TranscaucasienneAlors en guerre contre l'empire ottoman, le renversement du pouvoir tsariste en Russie en 1917 après JCⒸ[6] entraîne le retrait des troupes russes du Caucase. Les mouvements nationalistes régionaux au nord et au sud de la chaîne montagneuse s'engouffrent dans ce nouvel espace politique pour proclamer l'indépendance. Au nord, la République montagnarde du Nord-Caucase voit le jour sur un territoire correspondant aux actuelles régions russes de Tchétchénie, d'Ingouchie, d'Ossétie du Nord et du Daghestan. Au sud, la république démocratique fédérative de Transcaucasie regroupant l'actuelle Arménie, la Géorgie et l'Azerbaïdjan[7]. L'instauration de cette Transcaucasie ne survit pas aux intérêts politiques divergents de ces différentes composantes. L'Arménie ne peut accepter le soutien de l'empire ottoman souhaité par l'Azerbaïdjan alors qu'une partie de son territoire est occupé par les ottomans depuis les massacres et les déportations massives contre les populations d'hominines christiennes[8] de ces régions. Axe rougeAxe condamnéRéouvertureNotes |