Johannes Holzmann : Différence entre versions
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+ | Difficile, même pour la [[protivophilie]], de déterminer la date d'apparition des premières défiances d'hominines<ref>hominines</ref> envers les collectifs dans lesquels illes vivent. Sont-elles apparues dès les premiers regroupements indispensables à la survie ou plutôt lors de la constitution des premières formes d'organisations sociales ? Depuis quand les hominines perçoivent-illes que les avantages que procure le collectif sont en équilibre fragile avec les désavantages qu'il implique ? Avoir une place dans une société, quelle qu'elle soit, induit de se plier à ses règles. Les refuser, c'est prendre le risque de l'expulsion, de subir l'ostracisation, la punition ou la mise à mort. Aux vues de son histoire connue, faîte de sacrifices et meurtres, ce questionnement n'est pas le propre de l'espèce hominine mais traverse des individualités. La paléoanthropologie n'est pas en mesure, à ce jour, d'affirmer que les espèces d'hominines aujourd'hui disparues ne furent pas elles-aussi parcourues par cette problématique comme l'est aujourd'hui encore son unique survivance, l'être humain. | ||
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Version du 27 août 2021 à 13:23
Johannes Holzmann (Јоханес Холцман en macédonien — Joanes Holzman en nissard).
Avant-rienDifficile, même pour la protivophilie, de déterminer la date d'apparition des premières défiances d'hominines[1] envers les collectifs dans lesquels illes vivent. Sont-elles apparues dès les premiers regroupements indispensables à la survie ou plutôt lors de la constitution des premières formes d'organisations sociales ? Depuis quand les hominines perçoivent-illes que les avantages que procure le collectif sont en équilibre fragile avec les désavantages qu'il implique ? Avoir une place dans une société, quelle qu'elle soit, induit de se plier à ses règles. Les refuser, c'est prendre le risque de l'expulsion, de subir l'ostracisation, la punition ou la mise à mort. Aux vues de son histoire connue, faîte de sacrifices et meurtres, ce questionnement n'est pas le propre de l'espèce hominine mais traverse des individualités. La paléoanthropologie n'est pas en mesure, à ce jour, d'affirmer que les espèces d'hominines aujourd'hui disparues ne furent pas elles-aussi parcourues par cette problématique comme l'est aujourd'hui encore son unique survivance, l'être humain.
Stirner ? Rien !Généalogie de l'amoralNotes
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