Monsieur Rien

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Monsieur Rien (Господине Ништо en macédonien - Sénher Ren en nissard) Alias de Yégor Martinof [1].


[En cours de rédaction]


Contexte protivophile

Dès la fin du XIXème siècle après JC [2], les idéaux anarchistes émergent dans les discours politiques contestataires à travers le continent européen, du royaume britannique à l'empire russe, en passant par la république française ou la Roumélie ottomane. Loin d'être un bloc homogène, ils ont des racines multiples. Les histoires régionales ou nationales ont marqué de leurs empreintes les différents mouvements anarchistes émergents, tout autant que les très nombreux textes théoriques qui s'écrivent alors. L'idéologisation de l'anarchie fait qu'il est difficile d'en écrire une histoire réelle. Le processus de normalisation dans l'écriture de l'histoire tend évidemment à retenir des hominines plutôt que d'autres, à ne se souvenir que d'une linéarité plutôt que d'un foisonnement brouillon. La réalité n'est pas toujours facilement acceptable et sa complexité est impossible à assumer totalement. En France, l'anarchie d'alors se nourrit autant des textes et des pratiques de Louis-Auguste Blanqui [3] qu'elle les critique sévèrement, tout comme en Russie où les groupes révolutionnaires anarchistes ne se réclament pas de Serge Netchaïev — le jeune amant d'Albertine Hottin — mais en sont l'une des continuités. Le projet social de Pierre-Joseph Proudhon est valorisé alors que son sexisme est relégué au second plan, les envolées insurrectionnelles de Mikhaïl Bakounine font oublier ses aspirations à la conspiration de petits groupes clandestins pour renverser le pouvoir. Malgré une certaine cohérence théorique sur de grands points philosophiques, les situations sociales et politiques différentes ne provoquent évidemment pas les mêmes effets dans les pratiques et les théories anarchistes. La France et la Russie, par exemple, sont difficilement comparables bien qu'il y ait du commun. Dans l'une, les hominines [4] qui prônent l'anarchisme le font dans une démocratie policée, dans l'autre illes le font dans une autocratie policière. La première entretient l'illusion que l'ensemble des hominines sont des rouages du pouvoir, la seconde ne s'en donne pas la peine.

Rien produire ou produire rien [5]

De l'anarchisme social à l'individualisme anarchiste, de l'anarcho-syndicalisme à l'illégalisme, en passant par les milieux libres ou les communautés anarchistes, les hominines qui composent ce vaste nuancier qu'est l'anarchie sont multiples. Illes ne se retrouvent pas sur tous les sujets et parfois même s'affrontent autour de certains. Affrontements théoriques qui en arrivent quelques fois à des violences entre elleux. Mais, au-delà de ces différences, l'anarchisme se caractérise pour une volonté de mettre fin aux hiérarchies sociales, économiques et politiques. Cette détermination à lutter contre toutes les formes de pouvoir fait de l'anarchisme un mouvement singulier parmi l'ensemble des autres courants et théories qui se disent révolutionnaires. Sa critique de l'existant se veut radicale et sa vision du futur est sans concession. Tous les domaines des sociétés d'hominines sont passés au hachoir de la critique théorique et contestés par des tentatives pratiques. Aucun n'y échappent. Comme le fait la protivophilie avec beaucoup de plaisir, l'idée de dieu, de patrie, d’État, de patron, d'autorité, de domination ou de famille sont traînées dans la boue. Parfois, l'amour aussi. Les projets collectifs et les promesses de lendemains meilleurs sont regardés au minima avec méfiance, au plus avec défiance. Par simplification, par erreur ou par choix, le nihilisme est parfois utilisé en synonyme de anarchisme. L'un et l'autre peuvent être définis comme des critiques radicales du présent, mais l'un ne s'encombre pas du futur alors que l'autre cherche à influer dessus. Ladislav Klíma rappelle que les manières de se vivre anarchiste sont très diverses. Et pas forcément antagonistes.

Enfant, je haïssais tout le monde, la moindre caresse me faisait vomir, contre tous les spécimens du sexe masculin en particulier je nourrissais une idiosyncrasie très poussée. Fondée sur un mépris inné. Analysant mes souvenirs, il m'apparaît que dès les premières années de cette petite vie ma perception de moi-même et de l'humanité a été celle de deux puissances en guerre; et dès mon plus jeune âge j'ai instinctivement sous-estimé mon adversaire — je le tenais pour rien. [...] Je volais simplement pour voler, je me faisais un sport de casser les carreaux la nuit [...], de poser des pierres sur les voies de chemin de fer, de mettre le feu aux meules de blé. Je profanais systématiquement la croix aux environs de la ville, je faisais de l'esclandre à l'église, je lançais, faute de bombes, des tracts anarchistes, etc. [6]

L'utilisation ou non de la violence dans les pratiques politiques anarchistes est un des sujets qui divisent. Que ce soit pour des raisons défensives, en réponse à la violence directe de milices patronales ou de la police par exemple, ou de manière offensive en détruisant des bâtiments officiels, en dévalisant de riches hominines ou en s'attaquant directement à elleux. Être pacifiste — contre la guerre — ne doit pas être confondu avec le fait d'être pacifique — contre l'utilisation de la violence. Tout en se réclamant de l'anarchisme, il est possible d'être pacifiste et pacifique, ou simplement l'une des deux options. Même si les cas historiques sont plus rares, il existe des pacifiques qui ne sont pas pacifistes. Les première et seconde guerres dites mondiales, pour ne citer que ces deux exemples, sont des moments d'histoire où des anarchistes ont soutenu — au moins en théorie — l'entrée en guerre de tels ou tels pays alors que d'autres préfèrent déserter ou soutenir la désertion. Moins rares sont les cas où des hominines se disent pacifistes mais ne sont pas pacifiques. Que l'on pense aux adeptes de Bakounine qui partent à la fin du XIXème siècle se battre en Bosnie contre l'empire austro-hongrois ou en Roumélie/Macédoine contre la présence ottomane. Ou aux nombreux assassinats politiques et actes de destruction perpétrés par des hominines se réclamant de l'anarchisme à la charnière des XIXème et XXème siècles en Europe, en Asie et aux Amériques.

Ce[lle]ux qui produisent tout n'ont rien.
Ce[lle]ux qui ne produisent rien ont tout.
POURQUOI ?
Vive l'anarchie ! [7]

Le message est simple. Accessible et destiné à l'ensemble des hominines. Sans exception. Contrairement aux croyances religieuses, la description anarchiste du réel se fait à partir des outils disponibles de son époque. En plus des réflexions théoriques, les textes diffusés par des individualités, des groupes ou des journaux sont ceux des sciences sociales naissantes et des sciences dures que sont la biologie, la chimie et les sciences de la Terre. En Russie, L'évolution des espèces de Charles Darwin ou la sociologie d'Auguste Comte font partie des premiers ouvrages traduits et diffusés clandestinement. Avec le risque de finir en prison pour cela. Tout en produisant des réflexions critiques sur ces sciences, la pensée anarchiste parvient à se saisir des opportunités qui se présentent. Le rejet de la modernité ou la méfiance vis-à-vis du modernisme n'empêchent pas les anarchistes de savoir y trouver de nouvelles ressources. Arme d'exploitation, la dynamite est rapidement adoptée par les anarchistes les plus "à la pointe" qui en font une arme de destruction. En France, la "Bande à Bonnot" [8] est la première à réaliser des braquages de banques avec des voitures automobiles et à posséder des armes à feu à répétition que les forces de police n'ont pas encore.

Récit yégorien

Les sources concernant Yégor Martinof se réduisent à la seule biographie connue qui lui est consacrée par Louis Boussenard [9] dans le numéro 5 de La vie d'aventures d'octobre 1907 [10]. Longue de seulement 32 pages, elle est sobrement intitulée Monsieur... Rien ! Selon les normes de transcription actuelle, il est préconisé d'utiliser plutôt Iegor Martinov pour noter le russe Егор Мартынов en caractères latins. Hormis celle de parution, la courte biographie ne contient aucune date précise. Néanmoins il est possible de la déduire par quelques indications. En effet, l'âge de quatre des personnages est indiqué et, s'agissant de personnes clairement identifiées et dont l'état civil est connu. Elles sont les quatre jeunes filles du tsar Nicolas II et de la tsarine Alix de Hesse-Darmstadt. Si Olga a sept ans, Tata cinq ans, Marie trois et Zazie deux, il est possible d'en conclure que les faits relatés se situent en 1902. En Russie. À cette date, Yégor Martinof est "âgé d'environ 25 ans" [10]. Il est donc né autour de 1877. Probablement en Russie même si cela n'est pas aussi clairement dit. À cette âge, il est décrit comme "grand, vigoureux, énergique, résolu... [...] Gros mangeur et grand buveur" [10] Il est étudiant à Saint-Pétersbourg auprès du professeur Marcus Lobanof. Ce dernier est assisté par sa fille Nadia dans les recherches qu'il mène. Âgé d'une cinquantaine d'années, il est d'origine allemande ou suédoise et est né dans le village d'Ermelan près de Riga (Lettonie) [11]. Polyglotte, il est un savant reconnu par ses pairs dans les domaines de l'anatomie, la physiologie, la physique, la chimie et la biologie. "Cependant il se tient en dehors de la science officielle. Il consacre sa haute intelligence à l'étude infatigable de choses étranges, mystérieuses et troublantes qui seront peut-être la science de demain" [10]. Le rejeton d'une copulation fictive entre le docteur Victor Frankenstein et le professeur Didier Raoult. En ce qui concerne les années qui précèdent 1902, rien n'est connu sur la vie de Yégor Martinof. "A-t-il des relations amicales et sociales autres que celles que l’on entretient habituellement avec un animal domestique ou une plante verte ?" [12] pour paraphraser les biographes de F. Merdjanov. Quels sont ses liens avec les milieux anarchistes pétersbourgeois ? Comment a-t-il eu connaissance de l'idée même d'anarchie ? Est-il lié à un groupe constitué ou participe-t-il à un journal ? A-t-il choisi volontairement d'étudier avec le professeur Lobanof ? Autant de questions qui restent sans réponse. Des recherches complémentaires doivent encore être menées pour y répondre.

Illustration de

D'après les dires de Nadia Lobanof [13], l'étudiant Yégor Martinof est volontaire pour participer à une expérience du professeur Lobanof, d'en être le cobaye. De nombreux tests ont été menés auparavant sur d'autres animaux que les hominines. Avec succès. Dans les locaux du laboratoire situé sur la Perspective Gorokovaïa, il s'agit dans un premier temps d'injecter un sérum gras à base de glycérine, une "sorte de synthèse des éléments essentiels composant les liquides contenus dans les organismes les plus perfectionnés" [10]. En plus des injections hypodermiques régulières et savamment dosées, l'expérience nécessite aussi une ingestion par la bouche. Ensuite, Yégor Martinof est placé sous une grande cloche en verre dans laquelle l'atmosphère est chargé de gouttelettes de sérum gras. Il les respire et s'en imprègne doucement. L'idée repose sur une démonstration simple. "Si l'on mouille simplement avec de l'eau du papier non collé, ce papier absorbe l'eau par capillarité. Aussitôt cet eau chasse l'air, et le papier apparaît translucide... Si le papier est collé, l'eau ne peut pas s'incorporer à lui, mais alors on l'imbibe d'huile. Et cette huile s'insinue dans sa substance, chasse l'air d'une façon beaucoup plus complète, plus durable aussi, et lui donne la translucidité." [10] Avec ce procédé du sérum gras, Yégor Martinof doit dans un premier temps devenir transparent. Ce nouvel état engendre un phénomène optique qui rend l'indice de réfraction égal à celui de l'air, "de telle façon qu'il n'y eut plus ni réflexion ni réfraction quand les rayons lumineux passaient de l'air dans le corps et du corps dans l'air ambiant" [10]. Ce qui, en terme moins scientifique, induit l'invisibilité. Le long et progressif processus est clairement détaillé dans la biographie écrite par Louis Boussenard. Les descriptions de toutes les étapes sont de la bouche même de Nadia Lobanof, très investie dans les travaux scientifiques paternels. Cinq ans après la publication en 1897 par Herbet George Wells de la biographie de Griffin — un hominine mâle albinos — et une année après sa traduction en français [14], Yégor Martinof est le second hominine à devenir invisible et dont l'existence est attestée par une biographie. Selon les études menées à ce sujet, la troisième personne à devenir invisible est Segundo de Chomon, un hominine mâle, dont nous disposons des premières images cinématographiques datant de 1909 [15]. S'inspirant de l'exemple de Griffin, pour se rendre invisible il emploie la formule chimique suivante : 15 gouttes d'invisibilyte, 2 grammes de vaporine et 10 centilitres de fluidhyte. La méthode développée par le professeur Markus Lobanof comporte quelques effets secondaires. Boire et manger ne sont plus recommandés car l'eau et la nourriture provoquent une réaction du corps traité avec le sérum gras. Outre des douleurs après l'ingurgitation, Yégor Martinof redevient partiellement et temporairement visible le temps de la digestion. Maintenant, il est préférable qu'il prenne exclusivement de la "nourriture azoto-hydro-carbonnée à l'état d'éléments chimiques pur et directement assimilables sous forme de granule... pour boisson quelques gouttes de sérum dilué dans une faible solution des sels indispensables à l'organisme." [10] Une fois tous les dix jours. Au bout de plusieurs semaines d'imprégnation de sérum gras par Yégor Martinof, il est complètement invisible. À l'exception d'un plombage dentaire qu'il faut extraire pour que l'invisibilité soit totale.

Comme Griffin avant lui, Yégor Martinov doit être intégralement nu pour ne pas être vu. Évidemment. La disparition des notes du professeur Lobanof empêche de comprendre pour quelle raison la méthode par sérum gras n'est pas utilisée sur des tissus. Est-ce un manque de temps ou une impossibilité physique ? Afin de pallier à cet inconvénient majeur pour qui vit à Saint-Pétersbourg, où les hivers sont rudes, Markus Lobanof fait preuve d'ingéniosité. Il propose de surexposer l'invisible hominine à des émanations de radium afin que cela active une prolifération abondante de pilosité invisible. "En moins d'une semaine, et grâce au radium, Yégor devint velu comme un véritable petit caniche. [Il devient] un homme-chien." [10] Tout risque de grippe intestinale ou de rhume est écarté. Alors que Griffin et plus tard Segundo de Chomon sont contraints de demeurer habillés et de masquer leur visage, Yégor Martinof gagne grandement en autonomie et en discrétion. L'inconvénient principal de ce pelage qui recouvre l'intégralité de son corps est l'odeur de chien mouillé qu'il dégage. Afin d'éviter d'être confronté aux canidés dont il peut croiser la route, il enduit sa fourrure de graisse de loup [16]. Pour ne pas s'exposer à la curiosité d'un chien de chasse à l'odorat sensible ou éviter les périodes de chaleur des mâles qui s'accrochent à tout ce qui bouge, il préfère créer de la peur chez les canidés. Au lendemain de sa transformation, Yégor Martinof met fin à l'expérience et quitte le laboratoire du professeur. Difficile d'avoir les détails précis sur les événements qui suivent ce départ. Avait-il prémédité sa participation à l'expérience et son arrêt ? Et si oui, pour quelles raisons ?

Peu de temps après, il se rend dans le palais du tsar Nicolas II. Invisible, il ne rencontre aucun obstacle à cela. La famille royale est réunie. Les quatre filles et les parents royaux. Nicolas, souriant à l'idée de semer la peur, comme à son habitude, raconte à ses enfants l'histoire d'un mystérieux Monsieur Rien. Inventant un personnage qui se veut effrayant, il le décrit comme un "personnage à la fois étrange et terrible... farceur et méchant... comique et cruel... grotesque et féroce" qui "entre partout sans qu'on l'entende... sans qu'on l'aperçoive... sans même qu'on soupçonne sa présence." [10] Alors qu'il profite de cet instant pour tenter de poignarder le tsar, Yégor Martivof est touché par le tir de revolver de Nicolas deuxième du nom. Bien que blessé, il parvient à prendre la fuite. Le général Borissof, chef de la police de Moscou, est sans voix : "Rien !... Je ne trouve rien... je me heurte au néant !" [10]. Le lendemain, l'anarchiste invisible s'introduit dans les locaux de la police. Il poignarde à mort le général Borissof et blesse grièvement son secrétaire particulier, Fédor. Avant de s'enfuir, Yégor Martinof vide le coffre-fort et brûle les dossiers sur les nihilistes qu'il contient. Sur un mur, il tague "E nihilo vita", "Du néant la vie". La police est sur les nerfs. Le professeur Lobanof est arrêté et envoyé dans un cachot de la forteresse Pierre-et-Paul à Saint-Pétersbourg. Sans que l'on sache exactement si, oui ou non, il est en plein délire pour cause d'effets secondaires imprévus, l'invisible étudiant tente de négocier avec son ex-mentor un retour à la normale et obtenir l'autorisation de fréquenter sa fille Nadia contre une aide à l'évasion ! Markus Lobanof refuse et annonce à Yégor Martinof qu'en l'absence d'un repas de granule et d'une cuillère à café de sérum gras dilué tous les dix jours, il court vers la mort. Se sachant perdu, il oscille entre des moments de pleine lucidité et de crétinerie absolue. "Je vais faire sauter l'arsenal... puis je massacrerai les grands-ducs... les ministres... les maréchaux... je sèmerai partout l'épouvante et la mort" [10] se mélange avec ses menaces de tuer Nadia Lobanof, qu'il dit aimer, pour se venger du professeur qui lui refuse sa fille ! La traque policière se fait de plus en plus pressante et est largement relatée dans Monsieur... Rien ! Comme promis, l'arsenal est pulvérisé par une explosion. En s'emparant discrètement de l'arme d'un militaire, Yégor Martinof parvient à tirer en pleine rue sur les ministres de la guerre et de l'intérieur, les tuant tous les deux sur le coup. "Ce que vous appelez crimes est une mission sacrée... l'affranchissement des peuples... et c'est pour cela que j'ai accepté de devenir invisible" aurait-il dit au professeur Lobanof selon son biographe Louis Boussenard [10]. Pour éviter d'être capturé et de finir dans un cachot, Yégor Martinof se tire une balle dans la tête. De manière involontaire, Nadia Lobanof lui rend un hommage émouvant en disant de lui que "sous des dehors graves et studieux, se cachait un de ces êtres formidables qui incarnent le génie de la destruction !" [10]

Cycle merdjanovien

Notes

  1. Ou Iegor Martinov d'après la transcription actuelle du russe Егор Мартынов - En ligne
  2. JC
  3. Louis-Auguste Blanqui
  4. hominines
  5. L'usine de rien réalisé en 2017 par Pedro Pinho. Bande-annonce - En ligne
  6. Ladislav Klíma, "Autobiographie", texte rédigé en février 1924. Publié dans Je suis la volonté absolue, Éditions de la Différence, 2012
  7. L'anarchie, n° 137, 21 novembre 1907 - En ligne
  8. bande à Bonnot
  9. Louis Boussenard
  10. 10,00 10,01 10,02 10,03 10,04 10,05 10,06 10,07 10,08 10,09 10,10 10,11 10,12 et 10,13 Monsieur... Rien ! dans le numéro 5 de La vie d'aventures, octobre 1907 - [En ligne]
  11. Ermeland ?
  12. "Vie et œuvre de F. Merdjanov" dans F. Merdjanov, Analectes de rien, 2017 - En ligne
  13. Nadia Lobanof
  14. H.G. Wells, L'homme invisible, 1897 - En ligne
  15. Segundo de Chomon, Le voleur invisible, 5 min 32 sec, muet, 1909 - En ligne
  16. graisse de loup