Tarsiidae : Différence entre versions

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Version du 3 décembre 2019 à 19:11

Tarsiidae. Sous-famille des zoobiotes bilatériens qui se caractérisent dans le règne animal par une symétrie bilatérale du squelette ou des organes, et par un tube digestif avec une entrée (bouche) et une sortie (anus).


[En cours de rédaction]


Classification

Un tarsier

Le terme français de tarse est formé à partir du grec ταρσος (tarsos) qui désigne "la rangée de doigts situés au bout des pieds" ou le pied lui-même[1]. Dans le courant du XVIIIème siècle après JC [2], le zoophile et mathématicien Georges-Louis Leclerc de Buffon utilise le terme de tarsiidae (tarsiidés) pour désigner de petits primates habitant les grandes îles[3] entre les Spratleys et le sud des Andaman et Nicobar et qui se caractérisent par des doigts de pieds particulièrement développés. On prête au taxidermiste Max Stirner, dialoguiste en herbe, ces quelques mots qu'il met dans la bouche de tarsiidés :

Je suis ma propre espèce. [4]

Parenté

La taxonomie du vivant imaginée par les hominines classe les tarsiidés parmi les primates auxquels se rattachent aussi les petits singes, l'ensemble des hominidae (orangs-outangs, gorilles, chimpanzés, bonobos et hominines) et les lémuriens. Tous appartiennent à la vaste famille des mammifères au même titre que le dingo, le mouton ou le rat. Tous sont classés parmi les vertébrés aux côtés des pélicans, des morues et des varans. Parce qu'illes possèdent une bouche et un anus, les tarsiidés sont des zoobiotes bilatériens et, de par leur mode de reproduction sexuée qui consiste dans le partage d'ADN, illes sont qualifiés d'eucaryotes au même titre que les végétaux.

Description protivophile

Les éthologues répartissent les tarsiidés, parfois aussi nommés tarsiers, en trois sous-espèces qui, elles-mêmes, se subdivisent en plusieurs sous-catégories. Au total, une vingtaine de tarsiers différents ont été identifié, dont des espèces endémiques sur certaines îles. Au delà de leurs différences, les tarsiers possèdent tous de longs doigts de pieds, de très grands yeux globuleux, une longue queue. Selon les espèces les tailles varient entre cinq et quinze centimètres - sans la queue, qui est plus grande que le corps - pour des poids situés entre quelques dizaines et moins de deux cent grammes.

Outrepassant le cadre rigide de la classification zoologique, la protivophilie se propose d'en redéfinir quelques bases afin de mettre en avant les proximités entre les tarsiidés et l'Egosolistus Hominina, Ladislav Klíma. Les conditions de sa mort en 1928 n'ont pas permis de mener à bien toutes les observations sur le dernier représentant de cette sous-espèce sur laquelle nous disposons de bien peu d'informations. Par delà les différences entre les tarsiidés et l'egosolitus, une étude croisée permettra sans doute de magnifier leurs similitudes et apporter ainsi des réponses sur leurs espèces respectives. Il se peut qu'une telle approche soit au bénéfice de nos connaissances sur l'égosolistus, sur lequel bien moins de livres et d'écrits ont été réalisés en comparaison de ceux sur les tarsiidés.

Anatomie

Egosolistus Hominina

Alimentation

Sexualité

Postérité

Notes

  1. D'après "Tarse" sur le Trésor de la langue française - En ligne
  2. JC
  3. Philippines et Indonésie
  4. Max Stirner, L'Unique et sa propriété, 1844 - En ligne