Ouhoqisme : Différence entre versions

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À ce jour, les archives dénombrent un total de 1312 objets de toutes sortes se rapportant, directement ou non, au ouhoqisme. Discipline de recherche récente, le ouhoqisme est né de l'intérêt pour les périodes les plus obscures de l'histoire terrestre après plusieurs découvertes dans le nord-est du continent. Des peintures murales, des écrits et des images ont été trouvés par hasard. Elles viennent compléter la liste des objets ouhoqéens. Pour les spécialistes, ils se caractérisent par une référence récurrente à ''woke'', selon la notation d'origine, dans des textes et références. Pour faciliter sa prononciation, cette graphie est notée ''ouhoq''. Le sens de ce mot n'est pas établi avec certitude et les hypothèses sont nombreuses. Certaines explorent la piste de l'onomatopée, d'autres de la reproduction d'un bruit naturel, ou bien encore, celle d'un langage articulé. Dans ce cas, l'ouverture de la bouche doit être animée par une mâchoire mobile et/ou des muscles buccaux pour moduler des sons. Des articles passionnant existent sur la problématique de l'onomatopée <ref>Pas de traduction disponible</ref>. L'importance que le ouhoqisme représente dans les sources disponibles laisse à penser qu'il s'agit d'un imaginaire mythologique qui a eu son "quart d'heure de gloire" parmi les hominines. La recrudescence des découvertes archéologiques dans le domaine du ouhoqisme permet de poser plusieurs hypothèses. La surreprésentation s'explique par un effondrement, en quelques siècles tout au plus, des sociétés d'hominines alors que le ouhoqisme est au maximum de son influence parmi les hominines. Les vestiges sont potentiellement plus importants. À contrario, une seconde hypothèse pose que les découvertes ont eu lieu dans d'anciennes décharges collectives pour produits devenus inutiles. Une troisième affirme que le nombre importants de mentions de ouhoqisme n'est qu'une illusion entretenue par le hasard. Que penseraient les générations futures si de notre présent il ne restait que ce texte sur le ouhoqisme ? Les approches se diversifient. Des recherches sont menées pour déterminer si les hominines, plus de 200 millions d'années plus tard, sont encore une espèce vivante. Peut-être une vague parenté avec quelques-uns de nos petits bipèdes bilatériens actuels qui vivent dans des régions isolées au climat tempéré. L'exploration du continent est toujours en cours pour tenter d'en localiser. Comme l'antique panda qui abandonne son régime alimentaire omnivore pour ne manger que du bambou, a-t-il fallu un changement radical d'alimentation chez les hominines pour ne pas disparaître en tant qu'espèce ? Sans que l'on sache rien de ce que cela veut dire, le terme de ''plastique'' est parfois utilisé pour désigner la nourriture la plus répandue.  
 
À ce jour, les archives dénombrent un total de 1312 objets de toutes sortes se rapportant, directement ou non, au ouhoqisme. Discipline de recherche récente, le ouhoqisme est né de l'intérêt pour les périodes les plus obscures de l'histoire terrestre après plusieurs découvertes dans le nord-est du continent. Des peintures murales, des écrits et des images ont été trouvés par hasard. Elles viennent compléter la liste des objets ouhoqéens. Pour les spécialistes, ils se caractérisent par une référence récurrente à ''woke'', selon la notation d'origine, dans des textes et références. Pour faciliter sa prononciation, cette graphie est notée ''ouhoq''. Le sens de ce mot n'est pas établi avec certitude et les hypothèses sont nombreuses. Certaines explorent la piste de l'onomatopée, d'autres de la reproduction d'un bruit naturel, ou bien encore, celle d'un langage articulé. Dans ce cas, l'ouverture de la bouche doit être animée par une mâchoire mobile et/ou des muscles buccaux pour moduler des sons. Des articles passionnant existent sur la problématique de l'onomatopée <ref>Pas de traduction disponible</ref>. L'importance que le ouhoqisme représente dans les sources disponibles laisse à penser qu'il s'agit d'un imaginaire mythologique qui a eu son "quart d'heure de gloire" parmi les hominines. La recrudescence des découvertes archéologiques dans le domaine du ouhoqisme permet de poser plusieurs hypothèses. La surreprésentation s'explique par un effondrement, en quelques siècles tout au plus, des sociétés d'hominines alors que le ouhoqisme est au maximum de son influence parmi les hominines. Les vestiges sont potentiellement plus importants. À contrario, une seconde hypothèse pose que les découvertes ont eu lieu dans d'anciennes décharges collectives pour produits devenus inutiles. Une troisième affirme que le nombre importants de mentions de ouhoqisme n'est qu'une illusion entretenue par le hasard. Que penseraient les générations futures si de notre présent il ne restait que ce texte sur le ouhoqisme ? Les approches se diversifient. Des recherches sont menées pour déterminer si les hominines, plus de 200 millions d'années plus tard, sont encore une espèce vivante. Peut-être une vague parenté avec quelques-uns de nos petits bipèdes bilatériens actuels qui vivent dans des régions isolées au climat tempéré. L'exploration du continent est toujours en cours pour tenter d'en localiser. Comme l'antique panda qui abandonne son régime alimentaire omnivore pour ne manger que du bambou, a-t-il fallu un changement radical d'alimentation chez les hominines pour ne pas disparaître en tant qu'espèce ? Sans que l'on sache rien de ce que cela veut dire, le terme de ''plastique'' est parfois utilisé pour désigner la nourriture la plus répandue.  
  
Les sources écrites et les illustrations du ouhoqisme sont construites comme une pensée religieuse catastrophiste. Typique chez des espèces primitives — cela a aussi été constaté chez quelques insectes sociaux. Personne ne semble se dire ''ouhoqiste'' ou adepte du ''ouhoqisme'' mais certaines sont accusées de l'être ou de le promouvoir. Être ouhoqiste c'est être désigner ainsi et le ouhoqisme est la volonté de mettre fin au monde. Les textes qui nous sont parvenus sont écrits par des personnes différentes. À des dates proches. Généralement, le ton est véhément. À la hauteur de la peur que cela suscite. À proprement parlé, il n'existe pas de textes rédigés par des ouhoqistes mais des écrits fait par des hominines qui veulent s'en défendre. Ou attaquer. Paradoxalement, l'opposition au ouhoqisme invente le ouhoqisme. Elle en donne la définition. Celui-ci veut, au pire, abattre les fondations culturelles des sociétés d'hominines. Au mieux, en améliorer les aspects les plus inégalitaires. D'après ce qu'il est possible d'en comprendre, les hominines divisent leurs sociétés en plusieurs catégories, à qui les mêmes droits ne sont pas accordés. Il est possible d'appartenir à plusieurs catégories et en subir les conséquences cumulées. Le choix d'être dans telles ou telles catégories n'existe pas. Il s'agit plutôt d'une assignation. Une réduction. Les critères sont aussi farfelus que la couleur de l'épiderme ou des cheveux, l'origine géographique, l'aspect physique, la taille, l'âge, la santé ou la longueur du [[raphé]]. Autant de choses qui ne sont pas du domaine du choix. Le ouhoqisme veut fragiliser ces structures sociales en contestant les normes alors que son opposition veut les défendre. Pour elle, les normes sont la garantie d'un ordre préservé. Ou à préserver selon les plus réactionnaires. D'après ses critiques, le ouhoqisme agit à tous les niveaux. Il est omniprésent. Son influence se fait sentir dans les rapports inter-individuels, dans le langage, dans les hiérarchies sociales, dans les structures familiales, etc. Minorité active mais surreprésentée, le ouhoqisme est partout. Le monde ne va probablement pas y survivre, pour les plus catastrophistes.
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Les sources écrites et les illustrations du ouhoqisme sont construites comme une pensée religieuse catastrophiste. Typique des espèces primitives — cela a aussi été constaté chez quelques insectes sociaux. Une telle pensée n'a pas besoin de s'expliquer, il suffit d'affirmer. La plupart des pensées religieuses situent dans le passé leur âge d'or. L'ordre des choses y a été établi et rien ne doit perturber cet équilibre fragile. Sous peine de catastrophe. Cette vision conservatrice donne l'illusion que les hominines sont une espèce à part, non soumise aux processus évolutionnistes qui touchent les autres espèces. Qu'ils soient biologiques, techniques, culturels, etc. Loin de l'apathéisme <ref>apathéisme</ref> qui prévaut actuellement, il semble que les hominines défendent l'idée saugrenue d'une ou plusieurs divinités, inaccessibles, à l'origine de toutes choses. Même lorsque les références à ces êtres fictionnels disparaissent ou s'atténuent, les hominines conservent bien souvent ce qui se rapporte à la morale, aux mœurs et aux rituels. Aucune personne ne semble se dire ''ouhoqiste'' ou adepte du ''ouhoqisme'' mais certaines sont accusées de l'être ou de le promouvoir. Être ouhoqiste c'est être désigné ainsi et le ouhoqisme est la volonté de mettre fin au monde. Les textes qui nous sont parvenus sont écrits par des personnes différentes. À des dates proches. Généralement, le ton est véhément. À la hauteur de la peur que cela suscite. À proprement parlé, il n'existe pas de textes rédigés par des ouhoqistes mais des écrits fait par des hominines qui veulent s'en défendre. Ou attaquer. Paradoxalement, l'opposition au ouhoqisme invente le ouhoqisme. Elle en donne la définition. Celui-ci veut, au pire, abattre les fondations culturelles et morales des sociétés d'hominines. Au mieux, en améliorer les aspects les plus inégalitaires. D'après ce qu'il est possible d'en comprendre, les hominines divisent leurs sociétés en plusieurs catégories, à qui les mêmes droits ne sont pas accordés. Il est possible d'appartenir à plusieurs catégories et d'en subir les conséquences cumulées. Malgré les nuances entre les différentes sociétés d'hominines, aucune ne se fonde sur l'égalité totale en ses membres ! Le choix d'être dans telles ou telles catégories n'existe pas. Il s'agit plutôt d'une assignation. Une réduction. Les critères sont aussi farfelus que la couleur de l'épiderme ou des cheveux, l'origine géographique, l'aspect physique, la taille, l'âge, la santé ou la longueur du [[Raphé|raphé périnéal]]. Autant de choses qui ne sont pas du domaine du choix. Le ouhoqisme veut fragiliser ces structures sociales en contestant les normes alors que son opposition veut les défendre. Pour elle, les normes sont la garantie d'un ordre préservé. Ou à préserver selon les plus réactionnaires. D'après ses critiques, le ouhoqisme agit à tous les niveaux. Il est omniprésent. Son influence se fait sentir dans les rapports inter-individuels, dans le langage, dans les hiérarchies sociales, dans les structures familiales, etc. Minorité active mais surreprésentée, le ouhoqisme est partout. Pour les plus catastrophistes, le monde connu ne va probablement pas y survivre.
  
 
== Dissection ==
 
== Dissection ==

Version du 17 mars 2024 à 13:08

Ouhoqisme. ( en macédonien - en nissard) Imaginaire mythologique anté-historique.


[En cours de rédaction]


Précisions

Hominines ?

L'écart temporel entre les faits décrits dans cet article et la période présente est considérable. Ainsi il est nécessaire de garder en tête que les matériaux disponibles pour un tel travail de recherche sont très peu nombreux. Certains semblent intacts, d'autres sont détériorés et incomplets. Le risque est grand de se fourvoyer. Le manque de sources tient à plusieurs explications. La première et la plus importante est que l'époque concernée par le ouhoqisme remonte à plusieurs millions d'années, lorsque la planète était encore fragmentée en cinq continents. L'écart temporel qui nous sépare de cette époque est à peu près celui qui sépare ce moment historique du précédent continent unique. La tectonique des plaques fait que l'ensemble des terres émergées forment un continent unique environ tous les 500 millions d'années. Comme aujourd'hui. Avant de se fragmenter à nouveau. Le mouvement est perpétuel. La rencontre de ces cinq anciens continents a changé la géographie terrestre. Des mers et des océans ont disparu, d'autres apparu, de nouvelles montagnes se sont érigées. La faune et la flore se sont adaptées. Les bouleversements géologiques et climatiques ont été tel que les vestiges des époques précédentes sont rares. La plupart ont été totalement détruits par l'érosion. De nos jours, les musées de plein air disposent de belles collections d'objets trouvés par hasard et dont l'utilité n'a pas encore été déterminé. Les spécialistes de l'histoire ancienne pensent qu'ils appartiennent à une ou plusieurs espèces aujourd'hui disparues. Quelques squelettes sont visibles. Mais il n'y a pas consensus sur quelle espèce et à qui attribuer les squelettes. Quelle était l'anatomie exacte de celle que les spécialistes nomment hominines ? [1] Des travaux récents ont montré que la réponse est à chercher du côté des bipèdes bilatériens. Mais rien de plus pour l'instant.

Décrypter un imaginaire mythologique vieux de plus de 200 millions d'années nécessite de la prudence dans les hypothèses. Les biais sont nombreux. L'ouhoqologie est intersectionnelle. Elle croise les données archéologiques et linguistiques, elle se base sur des sources écrites sur de fines tranches d'arbre ou de la pierre, et quelques illustrations. Très peu sont encore dans leur état d'origine. Les tranches d'arbre se sont détériorées. Les écritures ne sont pas toujours très lisibles. Les linguistes défendent qu'il existait alors plusieurs dialectes langagiers chez les hominines, pas toujours intercompréhensibles entre eux et n'utilisant pas les mêmes signes pour les noter. Difficile de différencier précisément ces dialectes. Les ouhoqologues pensent que si ces langages sont oraux, il est fort probable que les hominines avaient un orifice buccal par lequel des sons modulés étaient émis. Ce qui va dans le sens de l'hypothèse de leur appartenance au règne bilatérien. Un petit fragment de texte, retrouvés il y a une centaine d'années, indique que les hominines et les lézards sont des espèces commensales [2], et qu'il est parfois difficile des les différencier. L'une ayant la capacité de se faire passer pour l'autre. Faut-il attribuer les objets découverts à l'une ou l'autre de ces deux espèces ? Au deux ? La datation est incertaine et la marge d'erreur peut être de plusieurs millions d'années.

Préambule

À ce jour, les archives dénombrent un total de 1312 objets de toutes sortes se rapportant, directement ou non, au ouhoqisme. Discipline de recherche récente, le ouhoqisme est né de l'intérêt pour les périodes les plus obscures de l'histoire terrestre après plusieurs découvertes dans le nord-est du continent. Des peintures murales, des écrits et des images ont été trouvés par hasard. Elles viennent compléter la liste des objets ouhoqéens. Pour les spécialistes, ils se caractérisent par une référence récurrente à woke, selon la notation d'origine, dans des textes et références. Pour faciliter sa prononciation, cette graphie est notée ouhoq. Le sens de ce mot n'est pas établi avec certitude et les hypothèses sont nombreuses. Certaines explorent la piste de l'onomatopée, d'autres de la reproduction d'un bruit naturel, ou bien encore, celle d'un langage articulé. Dans ce cas, l'ouverture de la bouche doit être animée par une mâchoire mobile et/ou des muscles buccaux pour moduler des sons. Des articles passionnant existent sur la problématique de l'onomatopée [3]. L'importance que le ouhoqisme représente dans les sources disponibles laisse à penser qu'il s'agit d'un imaginaire mythologique qui a eu son "quart d'heure de gloire" parmi les hominines. La recrudescence des découvertes archéologiques dans le domaine du ouhoqisme permet de poser plusieurs hypothèses. La surreprésentation s'explique par un effondrement, en quelques siècles tout au plus, des sociétés d'hominines alors que le ouhoqisme est au maximum de son influence parmi les hominines. Les vestiges sont potentiellement plus importants. À contrario, une seconde hypothèse pose que les découvertes ont eu lieu dans d'anciennes décharges collectives pour produits devenus inutiles. Une troisième affirme que le nombre importants de mentions de ouhoqisme n'est qu'une illusion entretenue par le hasard. Que penseraient les générations futures si de notre présent il ne restait que ce texte sur le ouhoqisme ? Les approches se diversifient. Des recherches sont menées pour déterminer si les hominines, plus de 200 millions d'années plus tard, sont encore une espèce vivante. Peut-être une vague parenté avec quelques-uns de nos petits bipèdes bilatériens actuels qui vivent dans des régions isolées au climat tempéré. L'exploration du continent est toujours en cours pour tenter d'en localiser. Comme l'antique panda qui abandonne son régime alimentaire omnivore pour ne manger que du bambou, a-t-il fallu un changement radical d'alimentation chez les hominines pour ne pas disparaître en tant qu'espèce ? Sans que l'on sache rien de ce que cela veut dire, le terme de plastique est parfois utilisé pour désigner la nourriture la plus répandue.

Les sources écrites et les illustrations du ouhoqisme sont construites comme une pensée religieuse catastrophiste. Typique des espèces primitives — cela a aussi été constaté chez quelques insectes sociaux. Une telle pensée n'a pas besoin de s'expliquer, il suffit d'affirmer. La plupart des pensées religieuses situent dans le passé leur âge d'or. L'ordre des choses y a été établi et rien ne doit perturber cet équilibre fragile. Sous peine de catastrophe. Cette vision conservatrice donne l'illusion que les hominines sont une espèce à part, non soumise aux processus évolutionnistes qui touchent les autres espèces. Qu'ils soient biologiques, techniques, culturels, etc. Loin de l'apathéisme [4] qui prévaut actuellement, il semble que les hominines défendent l'idée saugrenue d'une ou plusieurs divinités, inaccessibles, à l'origine de toutes choses. Même lorsque les références à ces êtres fictionnels disparaissent ou s'atténuent, les hominines conservent bien souvent ce qui se rapporte à la morale, aux mœurs et aux rituels. Aucune personne ne semble se dire ouhoqiste ou adepte du ouhoqisme mais certaines sont accusées de l'être ou de le promouvoir. Être ouhoqiste c'est être désigné ainsi et le ouhoqisme est la volonté de mettre fin au monde. Les textes qui nous sont parvenus sont écrits par des personnes différentes. À des dates proches. Généralement, le ton est véhément. À la hauteur de la peur que cela suscite. À proprement parlé, il n'existe pas de textes rédigés par des ouhoqistes mais des écrits fait par des hominines qui veulent s'en défendre. Ou attaquer. Paradoxalement, l'opposition au ouhoqisme invente le ouhoqisme. Elle en donne la définition. Celui-ci veut, au pire, abattre les fondations culturelles et morales des sociétés d'hominines. Au mieux, en améliorer les aspects les plus inégalitaires. D'après ce qu'il est possible d'en comprendre, les hominines divisent leurs sociétés en plusieurs catégories, à qui les mêmes droits ne sont pas accordés. Il est possible d'appartenir à plusieurs catégories et d'en subir les conséquences cumulées. Malgré les nuances entre les différentes sociétés d'hominines, aucune ne se fonde sur l'égalité totale en ses membres ! Le choix d'être dans telles ou telles catégories n'existe pas. Il s'agit plutôt d'une assignation. Une réduction. Les critères sont aussi farfelus que la couleur de l'épiderme ou des cheveux, l'origine géographique, l'aspect physique, la taille, l'âge, la santé ou la longueur du raphé périnéal. Autant de choses qui ne sont pas du domaine du choix. Le ouhoqisme veut fragiliser ces structures sociales en contestant les normes alors que son opposition veut les défendre. Pour elle, les normes sont la garantie d'un ordre préservé. Ou à préserver selon les plus réactionnaires. D'après ses critiques, le ouhoqisme agit à tous les niveaux. Il est omniprésent. Son influence se fait sentir dans les rapports inter-individuels, dans le langage, dans les hiérarchies sociales, dans les structures familiales, etc. Minorité active mais surreprésentée, le ouhoqisme est partout. Pour les plus catastrophistes, le monde connu ne va probablement pas y survivre.

Dissection

Controverses

Notes

  1. hominines
  2. commensales
  3. Pas de traduction disponible
  4. apathéisme