Jean Bilski : Différence entre versions

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La mère de Jean Bilski quitte son village pour Paris car ce fils est né hors-mariage vers 1954 après Jésus aka Christ&copy;<ref>JC</ref> et la "société villageoise" conservatrice voit cela d'un très mauvais œil. L'enfant est jugé honteux et le père reste inconnu. Jean Bilski est élevé à la campagne par ses grands-parents - des ouvriers agricoles - jusqu'à l'âge de onze ans où sa mère décide de le reprendre à sa charge. Il s'installe avec elle et son nouveau parâtre dans le Var. Alors qu'il est au collège, avec deux ou trois de ses amis, il fait de petits vols dans des maisons inhabitées de Saint-Aygulf, entre Saint-Raphaël et Sainte-Maxime, lors desquels ils détroussent de l'alcool et des livres. Bilski entre au lycée technique de Draguignan à l'âge de seize ans. La famille habite dans la caravane beau-paternelle. Au bout de deux mois, il fugue avec quelques comparses mais sont repris peu de temps après.  
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La mère de Jean Bilski quitte son village pour Paris car ce fils est né hors-mariage vers 1954 après Jésus aka Christ&copy;<ref>Jésus aka Christ&copy;, dit aussi JC, est ce morbide prophète qui préconise la pauvreté et fait de la misère une volonté divine, avec d'autant plus de facilité qu'il n'y sera jamais confronté, lui qui multiplie le vin et les petits pains.</ref> et la "société villageoise" conservatrice voit cela d'un très mauvais œil. L'enfant est jugé honteux et le père reste inconnu. Jean Bilski est élevé à la campagne par ses grands-parents - des ouvriers agricoles - jusqu'à l'âge de onze ans où sa mère décide de le reprendre à sa charge. Il s'installe avec elle et son nouveau parâtre dans le Var. Alors qu'il est au collège, avec deux ou trois de ses amis, il fait de petits vols dans des maisons inhabitées de Saint-Aygulf, entre Saint-Raphaël et Sainte-Maxime, lors desquels ils détroussent de l'alcool et des livres. Bilski entre au lycée technique de Draguignan à l'âge de seize ans. La famille habite dans la caravane beau-paternelle. Au bout de deux mois, il fugue avec quelques comparses mais sont repris peu de temps après.  
  
 
<blockquote>''Parce que mon beau-père et ma mère c'étaient des malheureux, c'est les mecs qui auraient été bonards si ça n'avait pas merdé pour eux. [...] Pas que le fric. Oui c'est-à-dire qu'ils vivaient dans une caravane sous la neige n'importe quoi...''<ref name="#bils">Entretien avec Jean Bilski, réalisé courant 1975 et publié par le journal ''Libération'' le 19 mai 1976 - [https://analectes2rien.legtux.org/images/PDF/jeanbilski.pdf En ligne]</ref></blockquote>
 
<blockquote>''Parce que mon beau-père et ma mère c'étaient des malheureux, c'est les mecs qui auraient été bonards si ça n'avait pas merdé pour eux. [...] Pas que le fric. Oui c'est-à-dire qu'ils vivaient dans une caravane sous la neige n'importe quoi...''<ref name="#bils">Entretien avec Jean Bilski, réalisé courant 1975 et publié par le journal ''Libération'' le 19 mai 1976 - [https://analectes2rien.legtux.org/images/PDF/jeanbilski.pdf En ligne]</ref></blockquote>

Version du 26 octobre 2018 à 23:49

Jean Bilski. Mort anonyme de la guerre sociale.

[En cours de rédaction]

Faim

Version idéalisée de la vie en caravane

La mère de Jean Bilski quitte son village pour Paris car ce fils est né hors-mariage vers 1954 après Jésus aka Christ©[1] et la "société villageoise" conservatrice voit cela d'un très mauvais œil. L'enfant est jugé honteux et le père reste inconnu. Jean Bilski est élevé à la campagne par ses grands-parents - des ouvriers agricoles - jusqu'à l'âge de onze ans où sa mère décide de le reprendre à sa charge. Il s'installe avec elle et son nouveau parâtre dans le Var. Alors qu'il est au collège, avec deux ou trois de ses amis, il fait de petits vols dans des maisons inhabitées de Saint-Aygulf, entre Saint-Raphaël et Sainte-Maxime, lors desquels ils détroussent de l'alcool et des livres. Bilski entre au lycée technique de Draguignan à l'âge de seize ans. La famille habite dans la caravane beau-paternelle. Au bout de deux mois, il fugue avec quelques comparses mais sont repris peu de temps après.

Parce que mon beau-père et ma mère c'étaient des malheureux, c'est les mecs qui auraient été bonards si ça n'avait pas merdé pour eux. [...] Pas que le fric. Oui c'est-à-dire qu'ils vivaient dans une caravane sous la neige n'importe quoi...[2]

Selon ses dires, il découvre l'anarchisme lors d'un petit boulot où il est chargé de vider les poubelles et de ramasser les journaux dans un centre de vacances. Dans ce contexte qui mêle journalisme et détritus, il trouve "logiquement" un numéro du Nouvel Observateur qui relate de menus infos sur les anarchistes. Jean Bilski lit des livres sur l'anarchisme et organise même des petites expositions sur le sujet dans son lycée.

Une nouvelle fugue et ses parents décident de l'envoyer à Toulon où il passe devant le juge pour enfant, puis est envoyé dans un centre d'orientation en mai 1970. Il y reste un mois et fugue de nouveau.

Milieu

Lors de son cours passage au centre d'orientation de Toulouse, il fait connaissance de militants "maos"[3] et participe à quelques tractages du Secours Rouge[4].

Après, j'ai revu les anars, des mecs bonards. Là, on faisait déjà des casses, avec les anars. On habitait dans une piaule pourrie, quartier réservé. On faisait des petits casses comme ça. [2]

Il survit ainsi en multipliant les petits casses dans des maisons dont le butin est ensuite revendu au marché aux puces de la ville. La nourriture est volée, mais le petit groupe vit "comme des malheureux" [2]. Jean Bilski est arrêté en possession de mèches à explosif - dit cordon Bickford - et prend un mois et demi de prison à Draguignan. À sa sortie il réintègre le centre d'orientation mais n'y reste que huit mois. En novembre 1971, il fugue et tente de survivre, mais le manque d'argent est problématique. En février 1972, armé d'une mitraille Sten il fait son premier braquage.

Je pensais que je pouvais pas le faire parce qu'il y avait plein de monde. En fait j'ai pas peur de me faire descendre, ce que j'ai peur, c'est le contact avec les flics, me faire choper sans arme. Tant que je peux tenir une arme, me descendre ou descendre, ça va. ça je m'en fout. Je veux absolument pas être arrêté, aller en taule, la mort lente et tout. [2]

"Mort aux vaches" et les trois point tatoués en triangle sont alors l'équivalent de l'actuel "All Cops Are Bastard". Pendant un an, il grenouille "vaguement quoi" avec les maos de La Cause du Peuple[5] en qui il voit des espèces d'anarchistes. Parmi le groupe de militants qu'il fréquente il est le seul ouvrier. Et traité comme tel, avec toute la déférence que les "maos" affectionnent vis-à-vis de ce qu'ils appellent la classe ouvrière[6]. Il trouve un travail de manœuvre sur les chantiers navals de la Seyne-sur-mer, près de Toulon, et y reste presque une année entière avant de se faire licencier pour sa participation à des grèves. Tout en côtoyant ces militants politiques qui ne cautionnent pas son acte, il effectue seul le braquage d'une petite banque dans laquelle il rafle vingt mille francs, "deux briques", soit deux millions d'anciens francs[7]. Pour ce faire, il s'arme d'une imitation de M16 qu'il modifie et, sans le savoir, le rend inutilisable ! Il fuit l'agence qu'il vient de braquer avec sa propre mobylette. En couverture, il se fait embauché à la Ciotat et fait une formation de soudeur pendant six mois, puis travaille seulement deux mois avant de quitter cet emploi. Il tombe malade et part six mois dans un sanatorium.

Mais là je suis tombé malade, j'étais tubard [8], je suis allé faire six mois de sana, il y avait un infirmier bonard qui connaissait soit-disant Puig Antich et tout ça. On a discuté un peu. J'ai commencé à réfléchir, c'est là que m'est venu l'idée des centrales nucléaires, des trucs comme ça ; quand je suis revenu de là-bas, j'avais pris des distances. Tu vois j'étais vachement copain avec les maos, c'étaient des mecs bonards mais j'avais des idées autonomes. Je savais vraiment ce que je voulais faire. [2]

Citroën DS version Fantomas pour des casses réussis
En plein chagrin après une séparation amoureuse, avec un comparse, il participe à un braquage dans le Gard, à Uzès. Ils n'ont pas le temps de se faire ouvrir le coffre et doivent se contenter de la caisse qui contient 50000 francs. Ils s'enfuient en voiture - une Citroën DS - et prennent en otage un des deux motards de la police alors à leur poursuite. Ils volent une voiture.

On a fait descendre le mec, on a mis le flic au volant, on est parti. On a tiré. Quelques balles derrière sur eux, on les a pas eu, ils nous suivaient à 50 mètres toujours la même distance. On est sorti, on ne savait pas où aller, on lui a dit : nous on s'en fout, on ne veut pas aller en taule, on veut caner, si tu veux t'en tirer tu te démerdes à les semer, tu connais la région. Le mec s'est démerdé quoi ! [2]

Après avoir abandonné leur otage, ils rejoignent Avignon, puis se séparent. Jean Bilski se change, coupe ses cheveux et passe par Orange pour retourner jusqu'à Toulon. Son comparse disparaît avec l'argent. Pour vivre, il enchaîne quelques braquages mais la plupart des coups qu'il tente de mettre en place restent sans lendemain. Son idée est de dévaliser un fourgon ou un casino. Il imagine même enlever un banquier ou l'écrivain Jean-Edern Hallier [9], qu'il n'a pas l'air d'apprécier. Les braquages de banque ne rapportent pas assez, une fois le butin réparti entre les braqueurs. Il espère réaliser un gros coup afin de ne plus avoir à prendre des risques toutes les deux semaines pour de petites sommes. A Narbonne, il braque une agence bancaire mais le caissier résiste un peu et l'équipe perd du temps. Il échappe de peu à la capture. Dans sa fuite, il braque encore une épicerie et parvient à se changer. Il fuit à pied par les petites rues narbonnaises, puis se posent dans un bar. Le coup est réussi. Lors de ses braquages, il a souvent un fausse grenade avec lui. Pour impressionner. Et il se targue de n'avoir pris que des flics en otage.

Il se dit suicidaire depuis des années sans n'être jamais passé à l'acte. Les raisons sont multiples et l'argent n'est pas le seul problème. Celui pour qui "c'est plus difficile de draguer une nénette que d'attaquer une banque" [2] se dit plein d'envies qu'il sait irréalisables.

Mettons je suis, je vais me mettre sur les centrales nucléaires, je vais imaginer tout un truc super compliqué avec un groupe qui va rester vachement uni, qui va faire une communauté super pendant un an, ou alors bon l'autre jour c'était les fachos, on a été obligé de braquer les fachos de Nice, bon, pendant six mois on va faire un truc vachement bien organisé, niquer les fachos complètement, parce qu'ils sont super puissant à Nice. Enfin bon, c'est des trucs complètement irréalisables qui tiennent pas compte des autres gens. C'est des trucs qui sont à ma mesure... [2]

Concrètement, à Nice, un ami de Jean Bilski se fait frapper par deux néo-fascistes. D'après lui, les plus énervés des militants d'extrême-droite aiment à se livrer à du tabassage de gauchiste ou autres clampins sans que cela n'entraîne de représailles. Il le déplore et est bien décidé à venger son ami. Ses propos sous-entendent que vengeance il y eut mais sans donner plus de précisions.

Jean Bilski rêve encore mais il lui manque "500 briques" [2] pour mener à bien le projet qui lui tiendrait le plus profondément.

Parce que moi ce que je voudrais c'est monter un truc, on prend un terrain pourri, qui a été détruit complètement, brûlé même si possible, avec les moyens qu'on a, on peut le remettre d'aplomb, ça prendra bien cinq ans, dix ans, on fait un truc super chouette, on est une vingtaine de mecs et de nénettes qui s'entendent vachement bien avec les gens qu'il y a autour, qui remettent le truc d'aplomb, biologique, avec recherche, en travaillant le moins possible, en essayant d'automatiser le truc, parce que je ne veux pas revenir à l'heure des choux, je veux mettre un tracteur. Au bout de dix ans, qu'on est bien avec les gens, on voit le rapport de force, on dit : maintenant il y a plus un flic qui rentre ici, plus de contrôle pour le shit, des trucs comme ça, je ne sais pas, il y a plus un flic qui rentre ici, il se fera descendre s'il rentre. Si il y a une mec recherché, il peut venir ici, s'il y a quelqu'un qui nous bousille ce terrain qu'on a remis d'aplomb. Une usine qui nous fait chier, une centrale nucléaire, on la fait sauter. Et le dire ouvertement. Je pense qu'ils seraient bien niqués si on a bien calculé notre coup. On peut rien nous faire. [2]

L'agent lui manque pour ce projet, mais aussi la vingtaine de complice pour mener à bien son utopie. Pour autant, il se dit lui-même incapable de vivre en communauté sans chercher à exercer du pouvoir, à vouloir tout contrôler. Par peur bien plus que par avidité. Il est bien conscient aussi que l'argent fausse les rapports entre les hominines, entre celleux qui en ont et les autres. Alors il prend la décision de se suicider. Mais il ne compte pas partir tout seul. Pour lui, il doit tout faire pour protéger ses proches de ses actes futurs, pour ne pas les impliquer malgré elleux, et mettre fin à ses jours avec panache.

Je vais faire un truc pas possible, si possible avec des gags, faire mettre de la pop music ou faire distribuer de l'argent. Parce que moi je me dis il n'y aura pas de ronds dans la caisse, je compte pas partir, je vais rentrer dire : je veux parler au commissaire Tollens, un commissaire fou, d'ailleurs, un cow-boy, je veux le bureau du sous-directeur et là, je vais prendre tout le monde en otage, j'essaierai que les mecs soient le mieux possible, je préparerai un truc pour qu'ils comprennent bien que moi je veux mourir mais qu'eux ils doivent me donner envie de vivre, parce que si je meurs, la grenade que j'ai en main va exploser. S'ils m'énervent, je me suicide, sur un coup de te. En plus, il ne peuvent pas me faire durer, parce que si je m'endors, une grenade ça a vite fait de glisser d'une main. [...] Je prendrais trois cent millions et j'essaierai de faire distribuer le reste, ou le brûler, pourquoi pas. [2]

Dans son plan, il a prévu de parvenir à s'échapper mais espère vraiment que la police sera suffisamment efficace pour l'abattre lors de sa fuite. Les chances de survie sont quasi-nulles.

Les trucs marxistes tout ça je les ai assimilés, mais ce qui domine chez moi c'est le reste. [2]

Dans le courant de l'année 1975, il rencontre un journaliste de Libération qui fait des enquêtes sur les "jeunes braqueurs fous". Celui-ci enregistre Jean Bilski pendant un heure et demie où il se raconte à travers une interview. Il parle de son parcours, de ses espoirs et dépressions, de sa vie et de ses projets suicidaires. Il se livre honnêtement sur ses propres limites, analyse sa situation de prolétaire et interroge sur l'utilité de l'action politique pour répondre à l'immédiateté de quelqu'un qui veut vivre ou trouver une raison de vivre. D'après le journaliste, Bilski revient le voir trois jours plus tard pour lui annoncer un changement de programme.

Tout ce que je t'ai raconté sur l'enlèvement, cela ne tient plus ; les armuriers à Paris sont des cons, je n'ai pas eu l'arme que je voulais et puis j'ai une rage de dents. Je crois que je vais tout simplement me tirer une balle dans la tête. [2]

La cassette audio de l'entretien est mise dans un tiroir. Sans suite. Plus de nouvelles de Jean Bilski.

Des buts ?

Jean Bilski souriant. Vue de dos [10]

Le matin du 14 mai 1976, Boulevard des Italiens à Paris, Jean Bilski s'approche, une arme à la main, près d'une voiture. Il vise l'un des deux occupants, tire et le tue. La passagère est blessée. Bilski contourne la voiture et se tire deux balles dans le corps. Une dans le ventre, une dans la tête. Il meurt de ses blessures. Sa cible est le président Crédit Lyonnais depuis 1970, puis PDG depuis 1974, très impliqué dans un récent conflit social et encore en froid avec les syndicats. Hormis son P38 et une fausse grenade, la police trouve sur Bilski ses papiers d'identité. Aucune revendication.

L'enquête incrimine les "anarchistes", la presse y va de son couplet sur la dangerosité et la délinquance de la jeunesse ou reprend les divagations policières qui parlent du milieu anarcho-gauchiste toulousain[11]. La Fédération Anarchiste fait savoir qu'elle n'a strictement rien à voir avec cette histoire. Pour rompre, selon ses dires, avec le discours que l'affaire Bilski déclenche, le journal Libération fait paraître dans ses éditions du 19 et du 20 mai 1976 la retranscription de l'entretien donné par Bilski l'année précédente. L'enquête policière conclura à l'acte individuel d'un jeune anarchiste de 22 ans.

L'éditorial de Libération[12] sur "L'affaire du Boulevard des Italiens" se sent obligé de rappeler que :

Son assassinat ne mène nulle part. Il ne sert à rien. Bilski cherchait un symbole et il est tombé sur un homme, sur [Jacques] Chaine. Ça ne changera rien à la société. Sauf pour Bilski pendant quelques secondes, celles qui ont précédé son suicide.

Ce que n'aurait pas démenti Jean Bilski.

Je veux tout ou rien[2][13]

Épiphénomène

Notes

  1. Jésus aka Christ©, dit aussi JC, est ce morbide prophète qui préconise la pauvreté et fait de la misère une volonté divine, avec d'autant plus de facilité qu'il n'y sera jamais confronté, lui qui multiplie le vin et les petits pains.
  2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 et 2,13 Entretien avec Jean Bilski, réalisé courant 1975 et publié par le journal Libération le 19 mai 1976 - En ligne
  3. Les maos
  4. Secours Rouge
  5. La Cause du Peuple
  6. Les Établis
  7. anciens francs
  8. La tuberculose pulmonaire
  9. Jean-Edern Hallier
  10. Pour les fétichistes ou les nécrophiles, la photo est vendue 475 euros sur internet
  11. Voir le journal télévisé de 20h du 14 mai 1976 sur la deuxième chaîne de l'audiovisuel public - En ligne
  12. Signé Serge July
  13. L'archéologie protivophile voit dans ces quelques mots les traces de ce qui peut mener F. Merdjanov à intituler l'un de ses textes Le tout, le rien - En ligne