Soqotra (Îles) : Différence entre versions

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'''Soqotra'''. Île mobile de l'océan Indien.
 
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Contredisant les schémas de la création du monde selon les mythologies religieuses, les sciences dites "modernes" proposent d'autres approches, basées sur l'existence de preuves démontrables et non sur des croyances invérifiables. Des méthodes scientifiques émergent dans des domaines aussi divers que la biologie, la botanique, l'astrophysique, la géologie ou la chimie pour n'en citer que quelques uns. L'ensemble de l'existant est passé au crible des théories et expérimentations scientifiques. Le monopole religieux de l'interprétation de l'existant est battu en brèche. Les sciences ne sont pas par essence anti-religieuses et des scientifique adhèrent même parfois à telles ou telles mythologies religieuses<ref>Dessein intelligent</ref>, mais de fait, leurs conclusions s'apparentent souvent à un lynchage tant elles bousculent les croyances propagées par les hominines. Contrairement à dieu qui arrive de nulle-part, ces sciences sont le produit historique de l'observation de l'existant par les hominines durant des millénaires avec des outils toujours plus complexes et des méthodes de plus en plus critiques. Il est probable qu'aujourd'hui le volume de savoirs et d'écrits scientifiques produits dépasse largement ce qui se fait sur les mêmes sujets avec une approche religieuse. Les sciences ne sont pas seulement une somme de savoirs cumulatifs, elles produisent aussi de l'auto-critique permanente qui invalide certaines théories scientifiques ou les améliore.
 
Contredisant les schémas de la création du monde selon les mythologies religieuses, les sciences dites "modernes" proposent d'autres approches, basées sur l'existence de preuves démontrables et non sur des croyances invérifiables. Des méthodes scientifiques émergent dans des domaines aussi divers que la biologie, la botanique, l'astrophysique, la géologie ou la chimie pour n'en citer que quelques uns. L'ensemble de l'existant est passé au crible des théories et expérimentations scientifiques. Le monopole religieux de l'interprétation de l'existant est battu en brèche. Les sciences ne sont pas par essence anti-religieuses et des scientifique adhèrent même parfois à telles ou telles mythologies religieuses<ref>Dessein intelligent</ref>, mais de fait, leurs conclusions s'apparentent souvent à un lynchage tant elles bousculent les croyances propagées par les hominines. Contrairement à dieu qui arrive de nulle-part, ces sciences sont le produit historique de l'observation de l'existant par les hominines durant des millénaires avec des outils toujours plus complexes et des méthodes de plus en plus critiques. Il est probable qu'aujourd'hui le volume de savoirs et d'écrits scientifiques produits dépasse largement ce qui se fait sur les mêmes sujets avec une approche religieuse. Les sciences ne sont pas seulement une somme de savoirs cumulatifs, elles produisent aussi de l'auto-critique permanente qui invalide certaines théories scientifiques ou les améliore.
  
Il a fallu attendre le courant du XX<sup><small>ème</small></sup> siècle après JC<sup>&#9400;</sup><ref>JC<sup>&#9400;</sup></ref> pour que se dégage progressivement un consensus scientifique sur la date de la formation de la planète Terre, environ 4,5 milliards d'années avant lui. Soit en 4500000000 avant JC<sup>&#9400;</sup>. Cette datation approximative fait qu'en 2020 après JC<sup>&#9400;</sup> la Terre est presque aussi vieille qu'à ''Deux heure moins le quart avant Jésus-Christ''<ref>''Deux heure moins le quart avant Jésus-Christ''</ref> pour reprendre le titre d'un célèbre documentaire. [[Macédoine]] d'objet stellaires qui s'agglomèrent, la planète se stabilise sous la forme d'un noyau chaud qui en forme le cœur et d'une surface qui se refroidit. Cette différence de température solidifie une partie de la matière en fusion qui se constitue progressivement en une croûte de plusieurs dizaines de kilomètres d'épaisseur. Cette épaisseur n'est pas uniforme, elle varie de 10 et 40 kilomètres selon les endroits du globe. Cette couche solide est en permanence soumise à la pression exercée par les parties intérieures et chaudes de la planète qui cherchent à monter et se heurtent aux températures extérieures plus basses qui cherchent à descendre. Le mouvement en profondeur de la matière "liquide" en fusion fracture la croûte en de multiples plaques. Les contraintes exercées sur ces plaques les fait bouger. Elles se chevauchent, se disloquent et se rencontrent dans un mouvement permanent, ce que les géologues appellent subduction, divergence et collision. Le phénomène chimique appelée "eau" contribue à cet échange de température en étant un facteur important du refroidissement de la croûte terrestre. C'est aussi dans cet élément aquatique que se développent les premières formes de vie. Les géologues identifient actuellement plus d'une dizaine de plaques tectoniques, de tailles très différentes, dont les continents ne sont que les zones hors de l'eau. Les plaques sont principalement sous-marines et les continents qui émergent n'en sont qu'une petite partie.
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Il a fallu attendre le courant du XX<sup><small>ème</small></sup> siècle après JC<sup>&#9400;</sup><ref>JC<sup>&#9400;</sup></ref> pour que se dégage progressivement un consensus scientifique sur la date de la formation de la planète Terre, environ 4,5 milliards d'années avant lui. Soit en 4500000000 avant JC<sup>&#9400;</sup>. Cette datation approximative fait qu'en 2020 après JC<sup>&#9400;</sup> la Terre est presque aussi vieille qu'à ''Deux heure moins le quart avant Jésus-Christ''<ref>''Deux heure moins le quart avant Jésus-Christ''</ref> pour reprendre le titre d'un célèbre documentaire. [[Macédoine]] d'objet stellaires qui s'agglomèrent, la planète se stabilise sous la forme d'un noyau chaud qui en forme le cœur et d'une surface qui se refroidit. Cette différence de température solidifie une partie de la matière en fusion qui se constitue progressivement en une croûte de plusieurs dizaines de kilomètres d'épaisseur. Cette épaisseur n'est pas uniforme, elle varie de 10 et 40 kilomètres selon les endroits du globe. Cette couche solide est en permanence soumise à la pression exercée par les parties intérieures et chaudes de la planète qui cherchent à monter et se heurtent aux températures extérieures plus basses qui cherchent à descendre. Le mouvement en profondeur de la matière "liquide" en fusion fracture la croûte en de multiples plaques. Les contraintes exercées sur ces plaques les fait bouger. Elles se chevauchent, se disloquent et se rencontrent dans un mouvement permanent, ce que les géologues appellent subduction, divergence et collision. Le phénomène chimique appelée "eau" contribue à cet échange de température en étant un facteur important du refroidissement de la croûte terrestre. C'est aussi dans cet élément aquatique que se développent les premières formes de vie. Les géologues identifient actuellement environ une quinzaine de plaques tectoniques, de tailles et de formes très différentes, dont les continents ne sont que les zones hors de l'eau.
  
 
== Archipel ==
 
== Archipel ==

Version du 21 décembre 2020 à 21:34

Soqotra. Île mobile de l'océan Indien.


[En cours de rédaction]

Immobile ?

Contredisant les schémas de la création du monde selon les mythologies religieuses, les sciences dites "modernes" proposent d'autres approches, basées sur l'existence de preuves démontrables et non sur des croyances invérifiables. Des méthodes scientifiques émergent dans des domaines aussi divers que la biologie, la botanique, l'astrophysique, la géologie ou la chimie pour n'en citer que quelques uns. L'ensemble de l'existant est passé au crible des théories et expérimentations scientifiques. Le monopole religieux de l'interprétation de l'existant est battu en brèche. Les sciences ne sont pas par essence anti-religieuses et des scientifique adhèrent même parfois à telles ou telles mythologies religieuses[1], mais de fait, leurs conclusions s'apparentent souvent à un lynchage tant elles bousculent les croyances propagées par les hominines. Contrairement à dieu qui arrive de nulle-part, ces sciences sont le produit historique de l'observation de l'existant par les hominines durant des millénaires avec des outils toujours plus complexes et des méthodes de plus en plus critiques. Il est probable qu'aujourd'hui le volume de savoirs et d'écrits scientifiques produits dépasse largement ce qui se fait sur les mêmes sujets avec une approche religieuse. Les sciences ne sont pas seulement une somme de savoirs cumulatifs, elles produisent aussi de l'auto-critique permanente qui invalide certaines théories scientifiques ou les améliore.

Il a fallu attendre le courant du XXème siècle après JC[2] pour que se dégage progressivement un consensus scientifique sur la date de la formation de la planète Terre, environ 4,5 milliards d'années avant lui. Soit en 4500000000 avant JC. Cette datation approximative fait qu'en 2020 après JC la Terre est presque aussi vieille qu'à Deux heure moins le quart avant Jésus-Christ[3] pour reprendre le titre d'un célèbre documentaire. Macédoine d'objet stellaires qui s'agglomèrent, la planète se stabilise sous la forme d'un noyau chaud qui en forme le cœur et d'une surface qui se refroidit. Cette différence de température solidifie une partie de la matière en fusion qui se constitue progressivement en une croûte de plusieurs dizaines de kilomètres d'épaisseur. Cette épaisseur n'est pas uniforme, elle varie de 10 et 40 kilomètres selon les endroits du globe. Cette couche solide est en permanence soumise à la pression exercée par les parties intérieures et chaudes de la planète qui cherchent à monter et se heurtent aux températures extérieures plus basses qui cherchent à descendre. Le mouvement en profondeur de la matière "liquide" en fusion fracture la croûte en de multiples plaques. Les contraintes exercées sur ces plaques les fait bouger. Elles se chevauchent, se disloquent et se rencontrent dans un mouvement permanent, ce que les géologues appellent subduction, divergence et collision. Le phénomène chimique appelée "eau" contribue à cet échange de température en étant un facteur important du refroidissement de la croûte terrestre. C'est aussi dans cet élément aquatique que se développent les premières formes de vie. Les géologues identifient actuellement environ une quinzaine de plaques tectoniques, de tailles et de formes très différentes, dont les continents ne sont que les zones hors de l'eau.

Archipel

Notes

  1. Dessein intelligent
  2. JC
  3. Deux heure moins le quart avant Jésus-Christ