Grivèlerie

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Grivèlerie. (измама en macédonien - filoteria en nissard [1]) Réflexe de survie élémentaire.


Sources protivophiles

Grivocide d'un paramilitaire

Parfois orthographié sans accent grave, grivèlerie est un nom féminin, attesté dès le XVIème siècle après JC [2]. Si l'on se réfère à la structuration des mots dans la langue française, grivèlerie se compose de grivèl- et du suffixe -erie qui marque une activité. Ainsi, une grivèlerie est l'action de griveler. Ce dernier peut être décomposé en grivel- et l'infinitif du premier groupe en -er, soit en griv- avec le suffixe -eler qui exprime les verbes diminutifs ou fréquentatifs. Ce suffixe verbal -eler est généralement utilisé avec des noms se terminant par -el, -elle ou -eau. Les dictionnaires divergent alors quand au radical en [εl] à retenir pour le verbe griveler, pour l'un il faut l'écrire grivelle, pour un autre grivèle [3]. Le Dictionnaire de l'ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle de Frédéric Godefroy, daté de 1881, mentionne l'existence de griveau. La langue française actuelle conserve bien d'autres vestiges de terminaisons en -el et eau, comme par exemple château ou couteau qui se rapportent à castelet et coutellerie. Que ce soit sous sa forme en -eau ou en -el, le mot grivel est un adjectif signifiant "tacheté", "coloré de plusieurs couleurs distinctes". Formes adjectivales qui se retrouve en français dans, par exemple, beau et bel ou nouveau et nouvel. Les études étymologiques existantes ne permettent pas d'affirmer que le nom grive, qui désigne une espèce d'oiseau de type merles tachetés, soit à l'origine de l'adjectif. À l'image de la forme adjectivale neuve, ces merles sont grives. Ainsi, ce n'est pas parce que les grives sont tachetées qu'elles sont à la source de l'adjectif grivel mais plutôt qu'elles sont ainsi nommées par des hominines [4] parce qu'elles sont tachetées. Pour le dire avec une construction linguistique moderne, les grives sont des merles grivelés [5]. Ce mécanisme se retrouve avec des vaches au pelage grivelé qui sont aussi appelées grives dans certaines régions de l'espace francophone. Grivèles dans d'autres régions, ou encore grivettes ou grivotes. Idem pour les oiseaux. Sous différentes orthographes, l'usage du mot grive est attesté dès le XIIe siècle pour désigner des oiseaux de la famille des passereaux, une cousinade du merle noir. Il existe des variantes régionales comme grivette ou grivotte. Consommées pour leur viande par les hominines, les grives sont chassées par des griveleux et griveleuses dont les techniques les plus répandues sont le collet, l'appeau ou la glu [6]. S'il n'a pas encore intégré grivocide, le lexique de la chasse contient grivière et griveux, respectivement "cage à grives" et "chasseur de grives" [7].

L'étymon exact de grive n'est pas connu. Les hypothèses varient selon les sources consultées [8]. Pour les unes, il est à chercher dans la variation du mot griu qui signifie "grec" dans les formes anciennes du français. Pour cette hypothèse, les grives sont des oiseaux migrateurs qui, selon les croyances de cette époque, hivernaient probablement en Grèce. Il est parfois mentionné l'hypothèse d'un lien avec gris en arguant que la langue française possède plusieurs termes dérivés de grivel exprimant le fait d'être tacheté ou le mélange entre couleurs, et plus particulièrement noire et blanche, tel que grivelé(e), grivelement et griveler. Les formes grivolé, grivolure, grivoler sont utilisées au début du XVIe siècle. Une des autres hypothèses avancées est celle du latin cribellum ou cribrum, "crible", "tamis", c'est-à-dire "'une surface plane percée de nombreux petits trous et servant à séparer des solides de différentes grosseurs" [9] qui reproduit symboliquement une surface tachetée.

Gestes grivèleriens

Instants délicieux de la fin de nuit. Pas un souffle de vent. On ne voit rien au Monde. C’est une absence de tout ; les moments ne sont plus faits que de rien ; tout paraît suspendu. L’air immobile n’agite pas une branche ; plus un oiseau ne chante. On ne ressent que le charme intensément répandu de la vie souterraine de la terre et du ciel, si puissamment, qu’il n’y a qu’à y puiser pour en tirer ce qu’on veut. [10]

Selon les différents dictionnaires et lexiques des usages "français" d'antan, le verbe griveler est attesté vers la fin du XIVème siècle avec le sens de "faire des petits profits illicites dans le cadre d'un emploi ou d'une charge" [11]. En découle la grivelée, puis la grivèlerie, deux synonymes pour l'action de griveler. L'hominine qui grivèle (ou grivelle) est un griveleur s'il est mâle et une griveleuse si elle est femelle [12]. Les dictionnaires concoctés par l'Académie française [13] entre la fin du XVIIème et le début du XXème siècle indiquent que griveler et ses dérivés sont du registre familier [14]. Griveler et grivelée apparaissent dès la première édition du Dictionnaire de l'Académie française de 1694 alors que grivèlerie entre dans la quatrième édition parue en 1762 et est considéré "vieilli'' dès la septième édition de 1878. Dans le courant du XIXème siècle, avec un glissement de sens, grivèlerie conserve un usage juridique. Le code pénal français de 1810 condamne à des amendes ou à de la prison toute grivèlerie [15], un délit qui consiste à consommer sans avoir de quoi payer. Le terme juridique correspondant est filouterie [16], parfois resquille [17]. Progressivement, grivèlerie sort du registre familier pour n'être plus que d'un emploi juridique ou littéraire. Dans le milieu des années 1930, la loi précise que "quiconque, sachant qu’il est dans l’impossibilité absolue de payer, se sera fait servir des boissons ou des aliments qu’il aura consommés, en tout ou en partie, dans des établissements à ce destinés, même s’il est logé dans lesdits établissements, sera puni d’un emprisonnement de six jours au moins et de six mois au plus, et d’une amende de 500 francs au moins et de 15000 francs au plus. La même peine sera applicable à celui qui, sachant qu’il est dans l’impossibilité absolue de payer, se sera fait attribuer une ou plusieurs chambres dans un hôtel ou auberge et les aura effectivement occupées." [18] Malgré l'absence de féminisation, ce texte concerne aussi les hominines femelles. Dans les décennies suivantes, la loi se modernise et la grivèlerie n'est plus seulement alimentaire ou domiciliaire, elle s'étend dorénavant aux carburants et aux huiles, ainsi qu'à l'utilisation de taxi. Selon l'article 313-5 [19], ces filouteries relèvent des "crimes et délits contre les biens" et sont dites "infractions voisines de l'escroquerie." La nuance entre vol et grivèlerie est donc que pour l'un il faut se servir alors que pour l'autre il faut se faire servir. Prendre soi-même, et sans intention de la payer, une barquette de macédoine dans la vitrine du traiteur est un vol alors que la demander et la manger immédiatement, et ensuite refuser de la payer, est une grivèlerie. Dans les deux cas, il peut être utile de partir rapidement en courant. Idem pour le taxi. Pour le restaurant. Ou le bar. Les accessoires des grivèleries modernes ont évolué au cours des siècles et l'introduction de chaussures sportives, de type baskets, dans les outils pratiques a aussi modifié les usages linguistiques. Place au resto-basket et au taxi-basket. Deux mots composés qui ont fait leur entrée dans les dictionnaires. Mais bien au-delà des dimensions normatives des dictionnaires, l'usage linguistique et la pratique de la grivèlerie sont plus larges. Pizza-basket ou couscous-basket ? Parce que pour être qualifié de grivèlerie il faut une consommation préalable, le caviste-basket ou le deal-basket sont plus risqués.

Accessoire grivèlerien

Le glissement de sens entre les petits profits illicites et la grivèlerie alimentaire ou domiciliaire repose la question de l'étymologie de grive. L'hypothèse du latin cribellum ou cribrum se matérialise par l'image d'un tamis qui laisse passer les parties les plus petites sans que cela semble changer la masse générale. Il suffit de les récupérer en toute discrétion. La plupart des étymologistes affirment que le sens de "se servir gratuitement" renvoie au comportement des grives sur les vignes. Elles adorent se servir. Une vraie hantise pour les exploitations viticoles des hominines. C'est aussi avec une telle approche, qui prête aux grives des comportements querelleurs, que se justifie le sens de "guerre" donné au mot grive et de "soldat" pour grivier. Pas de trace de griverie. Dans ce cas, l'hypothèse se tourne vers la racine grieve, le féminin de grief [20] dans le sens de "malheur", de "tourment". Grieve perdure en français dans grièvement ou à travers le mot grave et ses dérivés. Et aussi grivois(e), grivoisement et grivoiserie. La grivoiserie est dans un premier temps liée avec le monde des soldats, leurs attitudes jugées un peu excessives et leur liberté d'agir. L'hypothèse guerrière rappelle que le pillage soldatesque n'est pas causé par des grives. Par la suite, le terme s'emploie pour parler des hominines qui sont "d'une gaieté libre et hardie" avant de désigner plus spécifiquement le caractère osé, à la limite des bonnes mœurs ou de la décence, de propos, d'actes et de situations. Et plus généralement les hominines aux "mœurs libres".[21].

Les expressions regorgent de références à d'autres animaux pour justifier ou illustrer des comportements d'hominines. Les grives sont les protagonistes de deux courtes expressions : "Faute de grives, on mange des merles" et "Ivre comme une grive". La première revêt, d'une part, une dimension d'évidence pour les hominines qui ont faim, et d'autre part, un aspect proverbial qui justifie les formes d'organisations sociales qui ne profitent pas également aux hominines. La seconde expression se base sur l'état d'ébriété dans lequel les grives se trouvent probablement après avoir picoré longuement des raisins déjà alcoolisés. Rien à voir avec le slogan d'une campagne sur les violences conjugales, même s'il est souhaitable que les hominines mâles soient ivres comme des grives plutôt que l'inverse. Le féminicide alcoolique n'est pas présent chez les grives.

Dans la Rome antique, le terme de stellionatum désigne une escroquerie. La langue française a conservé les termes stellionataire et stellionat [22] avec le sens de "vendre ou hypothéquer un bien que l'on ne possède pas". Pourfendeur de l'idée même de propriété, Pierre-Joseph Proudhon propose une vision étendue du stellionat :

Cette permission d'occuper sa chose, le propriétaire peut l'octroyer pour rien : d'ordinaire il la vend. Dans le fait, cette vente est un stellionat et une concussion ; mais par la fiction légale du domaine de propriété, cette même vente, sévèrement punie, on ne sait trop pourquoi, en d'autres cas, devient pour le propriétaire une source de profit et de considération. [...] Tout possesseur de terres, maisons, meubles, machines, outils, argent monnayé, etc., qui loue sa chose pour un prix excédant les frais de réparations, lesquelles réparations sont à la charge du prêteur, et figurent les produits qu'il échange contre d'autres produits, est stellionataire, coupable d'escroquerie et de concussion. En un mot, tout loyer perçu, à titre de dommages-intérêts, mais comme prix du prêt, est un acte de propriété, un vol. [23]

Ressemblant un peu au gecko, le stellion est un petit saurien qui peut changer de couleur et muer. Il est ainsi nommé car sa peau est tachetée, d'après stella, "étoile". Impossible de savoir si le stellion est symboliquement utilisé pour sa capacité à changer sa couleur, et donc à se dissimuler, ou pour son aspect tacheté auquel serait attaché une symbolique particulière liée au vol. Ou est-ce en lien avec ses comportements ? Dans son Dictionnaire étymologique de la langue françoise de 1829, Jean-Baptiste-Bonaventure de Roquefort postule que "nous avons donné le nom de grivelées aux petits vols, à cause de la variété du plumage de la grive, à l’imitation des Grecs, qui disaient trôchtas, "truites", pour désigner les voleurs et les menteurs, à cause des diverses marques du dos de ce poisson." [24] Le même affirme que le mot grive vient du cri "gri-gri" que font ces oiseaux alors qu'illes sont nommés trichas en Grèce parce qu'ils font "tri-tri" ! Les truites ont les écailles de leurs flancs tachetées. L'étymologie de τρώκτης, la truite en grec ancien, signifie "vorace", "avide", en référence aux comportements de ce poisson vis-à-vis de son environnement. Cela rappelle le comportement prêté aux grives par les hominines sur le pillage des vignes. La langue française conserve le mot gredin(e) [25] dont l'origine est à rapprocher de la racine gred qui, dans plusieurs langues germaniques, signifie "avide" ou "affamé(e)". Un nouveau prétendant à l'étymologie de grive ?

La propriété est impossible, parce que de rien elle exige quelque chose. [23]

Geste grivèlerienne

Malgré la quasi-disparition de l'usage du mot grivèlerie, sa pratique reste toujours aussi vivante. Les chroniques judiciaires ou la presse relatent régulièrement des histoires de resto-basket et autres grivèleries. De la boulangerie [26] à la pompe à essence, en passant par le restaurant. Si la plupart des hominines qui grivèlent le font occasionnellement, d'autres pratiquent de manière plus régulière [27]. La geste grivèlerienne est riche d'expériences multiples. Les raisons de cette pratique sont diverses. Pour des hominines elle est un moyen parmi d'autre de combler des besoins biologiques — manger et dormir —, pour d'autres elle est une manière d'accéder à des besoins sociaux sans avoir les moyens financiers pour cela, pour d'autres encore, elle est une bonne façon de faire ses besoins sur un système économique inégalitaire. Parfois, la grivèlerie est simplement une forme individuelle ou collective de bravade ou alors seulement une opportunité à saisir.

Si on veut se natchave, c'est maintenant ou rien !

50 nuances de grivèlerie

Les études protivophiles sur la vie et l'œuvre de F. Merdjanov laissent à penser que la grivèlerie ne lui est pas étrangère. La plus grande partie des citations choisies pour son ouvrage Analectes de rien [28] expriment un profond mépris pour ce que les hominines, en tant qu'espèce, sont capables, et pour ce que les hominines, en tant que sociétés ou individualités, peuvent se faire subir entre elleux. La propriété sur les objets, le vivant et les hominines est une de ces nombreuses choses à mépriser [29]. La grivèlerie est un simple réflexe de survie. Elle est une évidence et sa légitimité est indiscutable. Dire le contraire, c'est se placer dans les rangs de celleux qui croient que la notion de propriété coule de source. De celleux qui pensent que Avoir ou ne pas avoir n'est pas la question, en réponse à celleux qui affirment plutôt que Naître ou ne pas naître, telle est la (vraie) question.

Je dégage ce qui est immuable, intemporel, mon moi sauvage, ma primitivité et mon instinctivité ; en fait ma primauté. Je ne confonds plus mon but et ma fin. Féral·e je deviens, affranchi·e et libre, absolu·e, autonome. Nomade du Moi, mon territoire est sans frontières, j’existe au-delà de ce que je suis comme un "hominine sans qualités". Je ne sais [...] qui je suis, comment [...], qui que tu sois, me définir [...] me nommer ? N’être rien ou vouloir être, mon choix est fait : Je suis. [30]

Selon ses critiques, Analectes de rien, l'œuvre principale de F. Merdjanov, peut être considérée comme une sorte d’escroquerie littéraire. Sur les presque 200 pages de l'ouvrage, les mots qui peuvent être attribués à F. Merdjanov couvrent tout au plus quelques pages. Le reste est composé de citations d'autres hominines, dont certaines ont peut-être été légèrement modifié. La propriété intellectuelle est bafouée et ce livre est un pillage. En terme protivophile, on appelle cela un merdjanovat. Ou une merdjanoverie.

Notes

  1. J.B. Calvino, Nouveau dictionnaire niçois-français, 1903 - En ligne
  2. L'acteur étasunien Jamie Cromwell — qui joue le cochon Babe dans le documentaire éponyme consacré à un jeune porcelet qui veut devenir berger — a bien voulu prêter ses initiales au présent article. La protivophilie ne veut pas être associée à la boucherie-charcuterie bon-marché Jésus aka Christ, récemment impliquée dans un scandale autour de sa nouvelle recette de pâté de grives. Malgré les énormes profits dégagés, sa direction proclame que "Faute de grives, on mange des merles".
  3. -eler sur le Trésor de la Langue Française - En ligne
  4. Les hominines sont une espèce animale qui est contrainte de s'alimenter, de s'hydrater et de dormir afin de pouvoir survivre. Il n'y a aucune exception.
  5. Grivelé(e) selon le Trésor de la langue française - En ligne
  6. La chasse à la glu consiste à mettre de la colle sur des branches afin qu'un oiseau s'y prenne et attire ses congénères avec ses chants. En France, cette chasse est pratiquée dans cinq départements du sud-est. La cible principale est la grive. En 2019, l'Union Européenne interdit la chasse à la glu au prétexte qu'elle n'est pas assez sélective et qu'elle blesse même les oiseaux qui ne sont pas chassés. Après plusieurs actions en justice, la France confirme cette interdiction en 2021. "La chasse à la glu déclarée illégale par le Conseil d’Etat", Le Monde, 28 juin 2021 - En ligne
  7. Entrée "graecus" dans le Französisches Etymologisches Wörterbuch
  8. Arnaud Hoedt, Jérôme Piron, "L'étymologie a bon dos" dans l'émission Tu parles !, juillet 2019 - En ligne
  9. "Crible" sur le Trésor de la langue française - En ligne
  10. François Augiéras, L’Apprenti sorcier. Cité à l'entrée "entre chien et loup" dans F. Merdjanov, Analectes de rien, 2017
  11. Griveler selon le Trésor de la langue française - En ligne
  12. Griveleur(euse) sur le Trésor de la langue française - En ligne
  13. L'Académie française est un club du troisième âge qui œuvre, avec le bourreau Bernard Pivot, les 1312 salopes de Bescherelle et les propagandistes armés de Larousse & Robert, à imposer des usages linguistiques normés. L'académie est abolie lors de la "Révolution française" en 1793 puis remontée en 1803 par le futur empereur Napoléon Bonaparte. Arnaud Hoedt, Jérôme Piron, "L'Académie française, c'est du flan" dans l'émission Tu parles !, juillet 2019 - En ligne
  14. Griveler selon l'Académie française - En ligne
  15. Article 401, Code pénal de l'Empire français, 1810 - En ligne
  16. Filouterie sur le Trésor de la langue française - En ligne
  17. Resquille sur le Trésor de la langue française - En ligne
  18. Selon le Code pénal, à la vieille de son abrogation et de son remplacement par le nouveau code pénal le 1er mars 1994 - En ligne
  19. Article 313-5 du Code pénal - En ligne
  20. Grief selon Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l'ancienne langue française et de tous ses dialectes... - En ligne
  21. Grivois(e) sur le Trésor de la langue française - En ligne
  22. Stellionat sur le Trésor de la langue française - En ligne
  23. 23,0 et 23,1 Pierre-Joseph Proudhon, Qu'est-ce que la propriété ?, 1840 - En ligne
  24. Jean-Baptiste-Bonaventure de Roquefort, Dictionnaire étymologique de la langue françoise, où les mots sont classés par familles, 1829 - En ligne
  25. Gredin sur le Trésor de la langue française - En ligne
  26. "De la grivèlerie à l’agression, dimanche matin dans une boulangerie de La Bassée", La Voix du Nord, 22 septembre 2020 - En ligne
  27. "Il avait fait 23 fois le plein sans payer dans les stations du Grand-Duché", Le Quotidien, juillet 2017 - En ligne. "Il mange pour la 53ème fois au restaurant sans payer", Radio Caraïbes International (RCI), octobre 2020 - En ligne
  28. F. Merdjanov, Analectes de rien, Gemidžii Éditions, 2017 - En ligne
  29. Sur cette problématique, voir l'article consacré à l'amour
  30. F. Merdjanov (Attribués à), Le tout, le rien - En ligne